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\n  \n 2021\n \n \n (8)\n \n \n
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\n \n\n \n \n \n \n \n \n La liberté d'être inégalitaire.\n \n \n \n \n\n\n \n Rochoy M\n\n\n \n\n\n\n Exercer, 178(32): 435. 2021.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n \n \"LaPaper\n  \n \n\n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_m_liberte_2021,\n\ttitle = {La liberté d'être inégalitaire},\n\tvolume = {178},\n\turl = {https://www.exercer.fr/},\n\tnumber = {32},\n\turldate = {2022-01-01},\n\tjournal = {Exercer},\n\tauthor = {{Rochoy M}},\n\tyear = {2021},\n\tpages = {435},\n}\n\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n \n Symptômes prolongés après la COVID-19 : état actuel des connaissances.\n \n \n \n \n\n\n \n Depagne C; Calafiore M; Favre J; Billy E; Rossinot H; Zores F; and Rochoy M\n\n\n \n\n\n\n Exercer, 178(32): 465–472. 2021.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n \n \"SymptômesPaper\n  \n \n\n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{depagne_c_symptomes_2021,\n\ttitle = {Symptômes prolongés après la {COVID}-19 : état actuel des connaissances},\n\tvolume = {178},\n\turl = {https://www.exercer.fr/librairie/produits/produit/109},\n\tnumber = {32},\n\turldate = {2022-01-01},\n\tjournal = {Exercer},\n\tauthor = {{Depagne C} and {Calafiore M} and {Favre J} and {Billy E} and {Rossinot H} and {Zores F} and {Rochoy M}},\n\tyear = {2021},\n\tpages = {465--472},\n}\n\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n \n Diversification alimentaire chez les enfants de 6 à 12 mois : connaissances des parents et facteurs influençant leurs pratiques.\n \n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Mameche-Yazit, A.; Puszkarek, T.; and Carré, M.\n\n\n \n\n\n\n Journal de Pédiatrie et de Puériculture, 34(5): 262–270. October 2021.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n \n \"DiversificationPaper\n  \n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_diversification_2021,\n\ttitle = {Diversification alimentaire chez les enfants de 6 à 12 mois : connaissances des parents et facteurs influençant leurs pratiques},\n\tvolume = {34},\n\tissn = {0987-7983},\n\tshorttitle = {Diversification alimentaire chez les enfants de 6 à 12 mois},\n\turl = {https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0987798321000505},\n\tdoi = {10.1016/j.jpp.2021.03.006},\n\tabstract = {Résumé\nIntroduction\nLa diversification alimentaire est une étape importante au cours du développement de l’enfant. Les sociétés savantes françaises recommandent une diversification alimentaire entre 4 et 6 mois, même si un terrain atopique est connu. Les objectifs de ce travail étaient de recueillir les modalités pratiques de diversification alimentaire et les principales sources d’informations utilisées par les parents d’enfants suivis en centres de protection maternelle et infantile (PMI).\nMatériels et méthodes\nNous avons réalisé une étude transversale et analytique : un questionnaire a été élaboré d’après les recommandations de la société française de pédiatrie de 2015, et distribué aux parents d’enfants de 6 à 12 mois lors des consultations infantiles de la PMI de Wattrelos-Leers, du 1er novembre au 31 décembre 2016.\nRésultats\nLes pratiques de diversification alimentaire de soixante enfants d’un âge médian de 9,5 mois ont été analysées. Elles étaient en adéquation avec les recommandations en ce qui concerne les fruits et légumes. Les erreurs les plus fréquentes étaient : introduction tardive des œufs (84 \\%), introduction simultanée de plusieurs aliments (64 \\%), introduction tardive des protéines (54 \\%), introduction précoce des farines (42 \\%), introduction tardive des céréales et du gluten (33 \\%). Le retard à l’introduction était lié à l’utilisation de sources d’informations via internet et l’utilisation de produits « faits maison ». Les principales sources d’informations étaient la famille puis les médecins (93 \\% et 87 \\% des mères, respectivement) ; les sites internet et le carnet de santé étaient aussi fortement consultés. Neuf parents sur 10 ont rencontré des difficultés, essentiellement liées à des refus alimentaires (43 \\%) et des troubles digestifs (26 \\%).\nConclusion\nDes informations ciblées pourraient améliorer les pratiques de diversification alimentaires, et aider à la prévention des allergies alimentaires ; le carnet de santé devrait renvoyer vers un site internet gouvernemental régulièrement à jour.\nSummary\nIntroduction\nFood diversification is an important step in a child's development. Recent French guidelines recommend food diversification between 4 and 6 months, even in case of atopy. The objectives of this work were to study the practice of food diversification and the main sources of information used by the parents of children followed in maternal and child protection centers.\nMaterials and methods\nA transversal and analytic study was conducted: a questionnaire was designed based on the main and recent guidelines, and given to parents of children aged 6 to 12 months during consultations in a maternal and child protection center in Wattrelos-Leers (France), from November 1 to December 31, 2016.\nResults\nThe practice of food diversification were analyzed for sixty children aged 9.5 months (median). They were in line with the guidelines as far as fruits and vegetables were concerned. The most frequent divergences from the guidelines were: late introduction of egg (84\\%), simultaneous introduction of several foods (64\\%), late introduction of protein (54\\%), early introduction of flour (42\\%), late introduction of cereals and gluten (33\\%). The delayed introduction was related to the use of online sources and the use of “homemade” food. The main sources of information was relatives and then doctors (93\\% and 87\\% of mothers, respectively); websites and the Child Health Record were also consulted. Nine out of 10 parents encountered difficulties, mainly related to food refusals (43\\%) and digestive disorders (26\\%).\nConclusion\nTargeted information may improve the practice of food diversification, and help prevent food allergies; the Child Health Record should refer to a regularly updated government website.},\n\tlanguage = {fr},\n\tnumber = {5},\n\turldate = {2022-01-01},\n\tjournal = {Journal de Pédiatrie et de Puériculture},\n\tauthor = {Rochoy, M. and Mameche-Yazit, A. and Puszkarek, T. and Carré, M.},\n\tmonth = oct,\n\tyear = {2021},\n\tkeywords = {Aliment du nourrisson au cours de la première année, Consumer Health Information, Food hypersensitivity, Guides de bonnes pratiques cliniques comme sujet, Hypersensibilité alimentaire, Infant food, Information en santé des consommateurs, Maternal-Child Health Services, Practice guidelines as topic, Primary Health Care, Services de santé maternelle et infantile, Soins de santé primaires},\n\tpages = {262--270},\n}\n\n
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\n Résumé Introduction La diversification alimentaire est une étape importante au cours du développement de l’enfant. Les sociétés savantes françaises recommandent une diversification alimentaire entre 4 et 6 mois, même si un terrain atopique est connu. Les objectifs de ce travail étaient de recueillir les modalités pratiques de diversification alimentaire et les principales sources d’informations utilisées par les parents d’enfants suivis en centres de protection maternelle et infantile (PMI). Matériels et méthodes Nous avons réalisé une étude transversale et analytique : un questionnaire a été élaboré d’après les recommandations de la société française de pédiatrie de 2015, et distribué aux parents d’enfants de 6 à 12 mois lors des consultations infantiles de la PMI de Wattrelos-Leers, du 1er novembre au 31 décembre 2016. Résultats Les pratiques de diversification alimentaire de soixante enfants d’un âge médian de 9,5 mois ont été analysées. Elles étaient en adéquation avec les recommandations en ce qui concerne les fruits et légumes. Les erreurs les plus fréquentes étaient : introduction tardive des œufs (84 %), introduction simultanée de plusieurs aliments (64 %), introduction tardive des protéines (54 %), introduction précoce des farines (42 %), introduction tardive des céréales et du gluten (33 %). Le retard à l’introduction était lié à l’utilisation de sources d’informations via internet et l’utilisation de produits « faits maison ». Les principales sources d’informations étaient la famille puis les médecins (93 % et 87 % des mères, respectivement) ; les sites internet et le carnet de santé étaient aussi fortement consultés. Neuf parents sur 10 ont rencontré des difficultés, essentiellement liées à des refus alimentaires (43 %) et des troubles digestifs (26 %). Conclusion Des informations ciblées pourraient améliorer les pratiques de diversification alimentaires, et aider à la prévention des allergies alimentaires ; le carnet de santé devrait renvoyer vers un site internet gouvernemental régulièrement à jour. Summary Introduction Food diversification is an important step in a child's development. Recent French guidelines recommend food diversification between 4 and 6 months, even in case of atopy. The objectives of this work were to study the practice of food diversification and the main sources of information used by the parents of children followed in maternal and child protection centers. Materials and methods A transversal and analytic study was conducted: a questionnaire was designed based on the main and recent guidelines, and given to parents of children aged 6 to 12 months during consultations in a maternal and child protection center in Wattrelos-Leers (France), from November 1 to December 31, 2016. Results The practice of food diversification were analyzed for sixty children aged 9.5 months (median). They were in line with the guidelines as far as fruits and vegetables were concerned. The most frequent divergences from the guidelines were: late introduction of egg (84%), simultaneous introduction of several foods (64%), late introduction of protein (54%), early introduction of flour (42%), late introduction of cereals and gluten (33%). The delayed introduction was related to the use of online sources and the use of “homemade” food. The main sources of information was relatives and then doctors (93% and 87% of mothers, respectively); websites and the Child Health Record were also consulted. Nine out of 10 parents encountered difficulties, mainly related to food refusals (43%) and digestive disorders (26%). Conclusion Targeted information may improve the practice of food diversification, and help prevent food allergies; the Child Health Record should refer to a regularly updated government website.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Port du masque dès 6 ans en France contre la propagation de la COVID-19 dans les écoles Wearing masks from the age of 6 in France against the spread of COVID-19 in schools.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Zeno, E.; Depagne, C.; Serrano, B.; Baubet, T.; Billy, E.; Zores, F.; Calafiore, M.; Favre, J.; and Puszkarek, T.\n\n\n \n\n\n\n Exercer, 169: 33–39. February 2021.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_port_2021,\n\ttitle = {Port du masque dès 6 ans en {France} contre la propagation de la {COVID}-19 dans les écoles {Wearing} masks from the age of 6 in {France} against the spread of {COVID}-19 in schools},\n\tvolume = {169},\n\tabstract = {La rentrée scolaire de septembre 2020 en France, en pleine pandémie de COVID-19, a été accompagnée de débats sur l’intérêt du port du masque à l’école primaire. Ce travail discute l’intérêt du port du masque dès 6 ans, à la lumière des connaissances scientifiques actualisées jusqu’à début novembre 2020 et des spécificités françaises. La littérature montre que les enfants sont contaminés et représentent au moins 11 \\% des cas de COVID-19. Ce taux augmente : il était plus faible dans les études réalisées en période de confinement, de vacances scolaires ou de faible circulation du virus. Les enfants sont contaminants pour toutes les classes d’âge. À ce jour, il n’y a pas de données scientifiques ni de signal en faveur d’un risque lié au port du masque par les enfants. La balance bénéfices-risques est donc nettement en faveur du port généralisé du masque par les enfants. Le port du masque obligatoire pour les enfants, quel que soit leur âge, et à partir de 6 ans en milieu scolaire ne peut être que plus efficace que l’absence de mesure.},\n\tjournal = {Exercer},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Zeno, Elisa and Depagne, Corinne and Serrano, Barbara and Baubet, Thierry and Billy, Eric and Zores, Florian and Calafiore, Matthieu and Favre, Jonathan and Puszkarek, Thibault},\n\tmonth = feb,\n\tyear = {2021},\n\tpages = {33--39},\n}\n\n
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\n La rentrée scolaire de septembre 2020 en France, en pleine pandémie de COVID-19, a été accompagnée de débats sur l’intérêt du port du masque à l’école primaire. Ce travail discute l’intérêt du port du masque dès 6 ans, à la lumière des connaissances scientifiques actualisées jusqu’à début novembre 2020 et des spécificités françaises. La littérature montre que les enfants sont contaminés et représentent au moins 11 % des cas de COVID-19. Ce taux augmente : il était plus faible dans les études réalisées en période de confinement, de vacances scolaires ou de faible circulation du virus. Les enfants sont contaminants pour toutes les classes d’âge. À ce jour, il n’y a pas de données scientifiques ni de signal en faveur d’un risque lié au port du masque par les enfants. La balance bénéfices-risques est donc nettement en faveur du port généralisé du masque par les enfants. Le port du masque obligatoire pour les enfants, quel que soit leur âge, et à partir de 6 ans en milieu scolaire ne peut être que plus efficace que l’absence de mesure.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n \n Thrombotic events after AstraZeneca vaccine: What if it was related to dysfunctional immune response?.\n \n \n \n \n\n\n \n Billy, E.; Clarot, F.; Depagne, C.; Korsia-Meffre, S.; Rochoy, M.; and Zores, F.\n\n\n \n\n\n\n Therapie. April 2021.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n \n \"ThromboticPaper\n  \n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{billy_thrombotic_2021,\n\ttitle = {Thrombotic events after {AstraZeneca} vaccine: {What} if it was related to dysfunctional immune response?},\n\tissn = {0040-5957},\n\tshorttitle = {Thrombotic events after {AstraZeneca} vaccine},\n\turl = {https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8057862/},\n\tdoi = {10.1016/j.therap.2021.04.003},\n\turldate = {2021-07-04},\n\tjournal = {Therapie},\n\tauthor = {Billy, Eric and Clarot, Franck and Depagne, Corinne and Korsia-Meffre, Stéphane and Rochoy, Michaël and Zores, Florian},\n\tmonth = apr,\n\tyear = {2021},\n\tpmid = {33892936},\n\tpmcid = {PMC8057862},\n}\n\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n \n À quoi sert la licence d’office, si elle n’est pas utilisée lors d’une pandémie ?.\n \n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Billy, E.; and Calafiore, M.\n\n\n \n\n\n\n Therapie. May 2021.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n \n \"ÀPaper\n  \n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_a_2021,\n\ttitle = {À quoi sert la licence d’office, si elle n’est pas utilisée lors d’une pandémie ?},\n\tissn = {0040-5957},\n\turl = {https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8139181/},\n\tdoi = {10.1016/j.therap.2021.05.005},\n\turldate = {2021-07-04},\n\tjournal = {Therapie},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Billy, Eric and Calafiore, Matthieu},\n\tmonth = may,\n\tyear = {2021},\n\tpmid = {34024641},\n\tpmcid = {PMC8139181},\n}\n\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Do direct oral anticoagulants induce isolated arthralgia?.\n \n \n \n\n\n \n Boinet, A; Béné, J.; Chargois, A; Bres, V; Default, A; Mahé, J; Rochoy, M.; Rousselin, C; Yelnik, C.; Gautier, S.; and Lambert, M.\n\n\n \n\n\n\n Fundamental and Clinical Pharmacology, 35: 47–88. June 2021.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{boinet_direct_2021,\n\ttitle = {Do direct oral anticoagulants induce isolated arthralgia?},\n\tvolume = {35},\n\tjournal = {Fundamental and Clinical Pharmacology},\n\tauthor = {Boinet, A and Béné, Johana and Chargois, A and Bres, V and Default, A and Mahé, J and Rochoy, Michaël and Rousselin, C and Yelnik, Cecile and Gautier, Sophie and Lambert, Marc},\n\tmonth = jun,\n\tyear = {2021},\n\tpages = {47--88},\n}\n\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Drug and non-drug therapies for Alzheimer’s disease: an umbrella review.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Vasseur, M.; Gautier, S.; and Pasquier, F.\n\n\n \n\n\n\n Fundamental and Clinical Pharmacology, 35: 47–88. June 2021.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_drug_2021,\n\ttitle = {Drug and non-drug therapies for {Alzheimer}’s disease: an umbrella review.},\n\tvolume = {35},\n\tshorttitle = {Drug and non-drug therapies for {Alzheimer}’s disease},\n\tjournal = {Fundamental and Clinical Pharmacology},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Vasseur, Magalie and Gautier, Sophie and Pasquier, Florence},\n\tmonth = jun,\n\tyear = {2021},\n\tpages = {47--88},\n}\n\n
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\n  \n 2020\n \n \n (7)\n \n \n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Blogs tenus par des médecins généralistes de la communauté médicale française en 2017 : publications, compétences et familles de situations mises en jeu.\n \n \n \n\n\n \n Daudigeos, A.; Daudigeos, O.; Andrieux, M.; Robin, E.; Rochoy, M.; Vanderkam, P.; and Tudrej, B.\n\n\n \n\n\n\n Exercer, 161: 138–140. March 2020.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{daudigeos_blogs_2020,\n\ttitle = {Blogs tenus par des médecins généralistes de la communauté médicale française en 2017 : publications, compétences et familles de situations mises en jeu},\n\tvolume = {161},\n\tshorttitle = {Blogs tenus par des médecins généralistes de la communauté médicale française en 2017},\n\tabstract = {Introduction : Le blog est un site web utilisé pour la publication périodique et régulière d'articles personnels dont le milieu médical fait usage.\nObjectifs : Décrire le type de publications présentes dans les blogs actualisés en 2017 par des médecins généralistes de la communauté médicale française ainsi que les compétences et familles de situations cliniques de médecine géné- rale mises en jeu dans ces publications.\nMéthode : Étude qualitative d’analyse de contenu des blogs sélectionnés par un échantillonnage, via un agrégateur de blogs, les blogs reliés, les blogs de comptes Twitter actifs et une liste pré-existante de blogs. Deux investigateurs indé- pendants ont analysé les contenus sur QSR NVivo 12 Pro®.\nRésultats : L’analyse a porté sur 372 articles issus de 27 blogs différents. Huit types de publication ont été identifiés dont les plus fréquents sont les récits de situations cliniques et les actualités médiatiques médicales. La compétence de médecine générale la plus mise en jeu est le Professionnalisme. Soixante-quatre récits de situations cliniques ont été identifiés dans lesquels la compétence Approche centrée patient, relation et communication est le plus explorée. La totalité des familles de situations cliniques définies par le CNGE sont développées et la plus fréquente est celle des Situations autour de patients souffrant de pathologies chroniques, poly-morbidité à forte prévalence.\nConclusion : Notre étude apporte des éléments supplémentaires à la qualification des blogs comme ressource numé- rique complémentaire à la disposition des médecins notamment en tant qu’exercice de médecine narrative.},\n\tjournal = {Exercer},\n\tauthor = {Daudigeos, Aurélien and Daudigeos, Olympe and Andrieux, Marine and Robin, Emmanuel and Rochoy, Michaël and Vanderkam, Paul and Tudrej, Benoit},\n\tmonth = mar,\n\tyear = {2020},\n\tpages = {138--140},\n}\n\n
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\n Introduction : Le blog est un site web utilisé pour la publication périodique et régulière d'articles personnels dont le milieu médical fait usage. Objectifs : Décrire le type de publications présentes dans les blogs actualisés en 2017 par des médecins généralistes de la communauté médicale française ainsi que les compétences et familles de situations cliniques de médecine géné- rale mises en jeu dans ces publications. Méthode : Étude qualitative d’analyse de contenu des blogs sélectionnés par un échantillonnage, via un agrégateur de blogs, les blogs reliés, les blogs de comptes Twitter actifs et une liste pré-existante de blogs. Deux investigateurs indé- pendants ont analysé les contenus sur QSR NVivo 12 Pro®. Résultats : L’analyse a porté sur 372 articles issus de 27 blogs différents. Huit types de publication ont été identifiés dont les plus fréquents sont les récits de situations cliniques et les actualités médiatiques médicales. La compétence de médecine générale la plus mise en jeu est le Professionnalisme. Soixante-quatre récits de situations cliniques ont été identifiés dans lesquels la compétence Approche centrée patient, relation et communication est le plus explorée. La totalité des familles de situations cliniques définies par le CNGE sont développées et la plus fréquente est celle des Situations autour de patients souffrant de pathologies chroniques, poly-morbidité à forte prévalence. Conclusion : Notre étude apporte des éléments supplémentaires à la qualification des blogs comme ressource numé- rique complémentaire à la disposition des médecins notamment en tant qu’exercice de médecine narrative.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Evaluation initiale brève des troubles cognitifs : quel outil choisir en médecine générale ?.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Leicht, A.; Puszkarek, T.; Bordet, R.; Chazard, E.; and Favre, J.\n\n\n \n\n\n\n Exercer. July 2020.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_evaluation_2020,\n\ttitle = {Evaluation initiale brève des troubles cognitifs : quel outil choisir en médecine générale ?},\n\tshorttitle = {Evaluation initiale brève des troubles cognitifs},\n\tabstract = {Revue EXERCER. Introduction. Les plaintes mnésiques sont difficiles à intégrer au cours d’une consultation de médecine générale où elles ne représentent pas le motif principal. Afin de déterminer si une consultation dédiée est nécessaire, il est utile de disposer d’outils d’évaluation initiale brève de la démence (trouble neurocognitif sévère), présentant une bonne sensibilité, et pouvant s’intégrer dans une consultation de médecine générale.\nMéthodes. Une revue de littérature sur Medline et LiSSa a été réalisée afin d’identifier les principaux tests réalisables en moins de 5 minutes pour l’évaluation initiale de troubles cognitifs, d’après les méta-analyses ou études originales disponibles. Les modalités de réalisation de ces tests ont été décrites et leurs valeurs diagnostiques pour le diagnostic de démence, en particulier leur sensibilité rapportées.\nRésultats. Onze tests ont été identifiés dans notre revue. Les 4 tests présentant les meilleures sensibilités sont le CODEX (sensibilité de 92 \\% ; IC95\\% [87 ; 95] sur 323 patients), le Mini-Cog (91 \\% ; IC95\\% [80 ; 96], évalué sur 4 178 patients), l’IQCODE, avec un seuil de 3,4 (sensibilité de 91 \\% ; IC95\\% [86 ; 94] sur 2 745 patients) et le mental alternation test (sensibilité à 95 \\% ; IC95\\% [86 ; 99] sur 113 patients).\nConclusion. Ces tests permettent donc en moins de 5 minutes de repérer une possible démence, et inciter à une évaluation plus précise. Les tests impliquant une mémorisation et rappel de 3 mots entrecoupés d’un test de l’horloge (CODEX et Mini-Cog) semblent d’excellents outils pour le médecin généraliste. Le mental alternation test est simple et mérite davantage d’évaluation en médecine générale. L’IQCODE nous rappelle quant à lui l’importance de l’entretien avec les proches du patient, ainsi que du suivi longitudinal, pour repérer un trouble cognitif en médecine générale.},\n\tjournal = {Exercer},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Leicht, Anne and Puszkarek, Thibault and Bordet, Régis and Chazard, Emmanuel and Favre, Jonathan},\n\tmonth = jul,\n\tyear = {2020},\n}\n\n
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\n Revue EXERCER. Introduction. Les plaintes mnésiques sont difficiles à intégrer au cours d’une consultation de médecine générale où elles ne représentent pas le motif principal. Afin de déterminer si une consultation dédiée est nécessaire, il est utile de disposer d’outils d’évaluation initiale brève de la démence (trouble neurocognitif sévère), présentant une bonne sensibilité, et pouvant s’intégrer dans une consultation de médecine générale. Méthodes. Une revue de littérature sur Medline et LiSSa a été réalisée afin d’identifier les principaux tests réalisables en moins de 5 minutes pour l’évaluation initiale de troubles cognitifs, d’après les méta-analyses ou études originales disponibles. Les modalités de réalisation de ces tests ont été décrites et leurs valeurs diagnostiques pour le diagnostic de démence, en particulier leur sensibilité rapportées. Résultats. Onze tests ont été identifiés dans notre revue. Les 4 tests présentant les meilleures sensibilités sont le CODEX (sensibilité de 92 % ; IC95% [87 ; 95] sur 323 patients), le Mini-Cog (91 % ; IC95% [80 ; 96], évalué sur 4 178 patients), l’IQCODE, avec un seuil de 3,4 (sensibilité de 91 % ; IC95% [86 ; 94] sur 2 745 patients) et le mental alternation test (sensibilité à 95 % ; IC95% [86 ; 99] sur 113 patients). Conclusion. Ces tests permettent donc en moins de 5 minutes de repérer une possible démence, et inciter à une évaluation plus précise. Les tests impliquant une mémorisation et rappel de 3 mots entrecoupés d’un test de l’horloge (CODEX et Mini-Cog) semblent d’excellents outils pour le médecin généraliste. Le mental alternation test est simple et mérite davantage d’évaluation en médecine générale. L’IQCODE nous rappelle quant à lui l’importance de l’entretien avec les proches du patient, ainsi que du suivi longitudinal, pour repérer un trouble cognitif en médecine générale.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Le port généralisé d’écrans anti-postillons (masques anti-projections faits maison) : un moyen de lutte contre l’épidémie de Covid-19.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Puszkarek, T.; Hutt, A.; and Favre, J.\n\n\n \n\n\n\n Exercer. May 2020.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_port_2020,\n\ttitle = {Le port généralisé d’écrans anti-postillons (masques anti-projections faits maison) : un moyen de lutte contre l’épidémie de {Covid}-19},\n\tshorttitle = {Le port généralisé d’écrans anti-postillons (masques anti-projections faits maison)},\n\tabstract = {Faut-il tous porter un écran anti-postillons (EAP) (écran anti-projections, masque « grand public », masques artisanaux, etc.) comme mesure barrière pendant la pandémie de Covid-19 ? En France, le port généralisé d’EAP fait débat, dans un contexte de pénurie de masques certifiés, alors que d’autres pays l’ont recommandé dès le 19 mars 2020. Cette « rapid review » pose la question de l’intérêt du port généralisé d’EAP contre cette maladie à transmission gouttelettes pouvant être contagieuse à un stade asymptomatique ou présymptomatique. Le port généralisé d’EAP présente un rapport coût-efficacité très favorable. Il limite la contagion en protégeant son porteur, mais, surtout, en protégeant les personnes de son environnement et les personnes avec lesquelles il interagit. Dans un contexte de pénurie de masques chirurgicaux, le port généralisé d’EAP doit être recommandé en France, comme il l’est déjà ailleurs avec succès.},\n\tjournal = {Exercer},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Puszkarek, Thibault and Hutt, Antoine and Favre, Jonathan},\n\tmonth = may,\n\tyear = {2020},\n}\n\n
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\n Faut-il tous porter un écran anti-postillons (EAP) (écran anti-projections, masque « grand public », masques artisanaux, etc.) comme mesure barrière pendant la pandémie de Covid-19 ? En France, le port généralisé d’EAP fait débat, dans un contexte de pénurie de masques certifiés, alors que d’autres pays l’ont recommandé dès le 19 mars 2020. Cette « rapid review » pose la question de l’intérêt du port généralisé d’EAP contre cette maladie à transmission gouttelettes pouvant être contagieuse à un stade asymptomatique ou présymptomatique. Le port généralisé d’EAP présente un rapport coût-efficacité très favorable. Il limite la contagion en protégeant son porteur, mais, surtout, en protégeant les personnes de son environnement et les personnes avec lesquelles il interagit. Dans un contexte de pénurie de masques chirurgicaux, le port généralisé d’EAP doit être recommandé en France, comme il l’est déjà ailleurs avec succès.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Wearing masks in France and elsewhere: why the delay?.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Puszkarek, T.; Hutt, A.; and Favre, J.\n\n\n \n\n\n\n , BJGP Life. May 2020.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_wearing_2020,\n\ttitle = {Wearing masks in {France} and elsewhere: why the delay?},\n\tvolume = {BJGP Life},\n\tshorttitle = {Wearing masks in {France} and elsewhere},\n\tabstract = {Authors: Michaël Rochoy (@mimiryudo), Jonathan Favre (@DrJohnFa) and Thibault Puszkarek (@puszkarek) are general practitioners, ex-chief residents of the university of Lille (@univ\\_lille @medecine\\_Ulille). Together with Antoine Hutt, a radiologist specialising in thoracic imaging at Lille University Hospital (@CHU\\_Lille), they rationalise and encourage the use of anti-postillation screens in France on the website https://stop-postillons.fr (@SPostillons).\n\nWITH FEWER THAN 8,000 CASES and fewer than 200 deaths, the French government decreed the confinement of the population from 17 March 2020. This confinement leaves the possibility to go out (work, urgent care, shopping, to help a dependent relative, for short physical activity) but during these outings, very few people wear masks.\n\nIn February, France had a stock of about 100 million surgical single-use masks and no N95 masks. Current needs are estimated at 50 million masks per week to cover the needs of the 67 million inhabitants. Aware of this international shortage of masks, individual or collective initiatives for the manufacture of “anti-postillation screens” have emerged: home-made masks, plastic screens, etc. These screens are not intended for use by caregivers and should not be recommended for use by them. They are intended to replace surgical masks for the general public in a context of shortage; their objective is the same as that of the surgeon in the operating room: to avoid contaminating the environment. This is a paradigm shift adopted by many countries: we do not wear a mask to protect ourselves, but we all wear a screen to protect others.\nThis idea is supported by four studies from 2008 to 2020, showing the effectiveness of a home-made anti-postillation screens, using a tea towel, T-shirt or cotton.(1–4) These screens protect the environment and are better than nothing, in cases of surgical or N95 masks shortages. Using home-made screens allows certified masks to be reserved for caregivers, and generalised wearing of masks does not lead to stigmatisation, contrary to sporadic wearing.\n\nWhile the anti-postillation screen can protect the environment when worn collectively, it can also protect the wearer by three mechanisms: a filtering effect (1,2) the limitation of manuportage (hand-to-mouth contact), and the social distancing favoured by wearing the screen. On the basis of these arguments, the precautionary principle would suggest that the wearing of anti-postillation screens should be generalised, as the sixth barrier measure in France, given the possibly significant impact on transmission, compared to the low impact on social and economic life.(5)\n\nBut, as these screens are not certified, the French government never refers to them as a barrier measure. On the contrary, some political figures refer to “the uselessness”, “the ignorance about how to wear it properly”, “the poor hand washing due to wearing a mask”, “the risk of not respecting the social distance”, etc. These arguments do not support the reality, since alcohol sanitiser gel/fluid is missing, and intervals between supermarket shelves rarely exceeds one metre. Widespread-wearing of masks seems to be postponed until 11th May, when we can ensure the production of validated masks for workers, and then for general public… too late! The 1918 pandemic feedback showed that early public health measures work best, and there was no question of administrative certification at that time.(6)\nFinally, the coronavirus pandemic always seems to be ahead. Several countries or regions have made the wearing of face masks mandatory in the public space: Czech Republic (19 March), Austria, Slovenia (31 March), Lombardy, Slovakia (4 April), Canada (6 April), Luxembourg (8 April), Morocco (9 April), Portugal (13 April), Poland (16 April), Saxony (17 April). The US Centers for Disease Control and Prevention (CDC) has been recommending this generalised measure since 3 April; their European counterpart issued the same opinion on 8 April. This measure must be generalised, piloted by the governments. Yet today there is a continued delay for some countries in making a decision on masked containment.\n\nReferences\n\n1. van der Sande M, Teunis P, Sabel R. Professional and home-made face masks reduce exposure to respiratory infections among the general population. PLoS ONE 2008;3(7):e2618.\n2. Davies A, Thompson K-A, Giri K, Kafatos G, Walker J, Bennett A. Testing the efficacy of homemade masks: would they protect in an influenza pandemic? Disaster Med Public Health Prep 2013;7(4):413–8.\n3. Bae S, Kim M-C, Kim JY, et al. Effectiveness of Surgical and Cotton Masks in Blocking SARS–CoV-2: A Controlled Comparison in 4 Patients. Ann Intern Med [Internet] 2020 [cited 2020 Apr 8]. Available from: https://annals.org/aim/fullarticle/2764367/effectiveness-surgical-cotton-masks-blocking-sars-cov-2-controlled-comparison\n4. Ma Q-X, Shan H, Zhang H-L, Li G-M, Yang R-M, Chen J-M. Potential utilities of mask wearing and instant hand hygiene for fighting SARS-CoV-2. J Med Virol 2020;\n5. Greenhalgh T, Schmid MB, Czypionka T, Bassler D, Gruer L. Face masks for the public during the covid-19 crisis. BMJ [Internet] 2020 [cited 2020 Apr 10];369. Available from: https://www.bmj.com/content/369/bmj.m1435\n6. Bootsma MCJ, Ferguson NM. The effect of public health measures on the 1918 influenza pandemic in U.S. cities. Proc Natl Acad Sci USA 2007;104(18):7588–93.},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Puszkarek, Thibault and Hutt, Antoine and Favre, Jonathan},\n\tmonth = may,\n\tyear = {2020},\n}\n\n
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\n Authors: Michaël Rochoy (@mimiryudo), Jonathan Favre (@DrJohnFa) and Thibault Puszkarek (@puszkarek) are general practitioners, ex-chief residents of the university of Lille (@univ_lille @medecine_Ulille). Together with Antoine Hutt, a radiologist specialising in thoracic imaging at Lille University Hospital (@CHU_Lille), they rationalise and encourage the use of anti-postillation screens in France on the website https://stop-postillons.fr (@SPostillons). WITH FEWER THAN 8,000 CASES and fewer than 200 deaths, the French government decreed the confinement of the population from 17 March 2020. This confinement leaves the possibility to go out (work, urgent care, shopping, to help a dependent relative, for short physical activity) but during these outings, very few people wear masks. In February, France had a stock of about 100 million surgical single-use masks and no N95 masks. Current needs are estimated at 50 million masks per week to cover the needs of the 67 million inhabitants. Aware of this international shortage of masks, individual or collective initiatives for the manufacture of “anti-postillation screens” have emerged: home-made masks, plastic screens, etc. These screens are not intended for use by caregivers and should not be recommended for use by them. They are intended to replace surgical masks for the general public in a context of shortage; their objective is the same as that of the surgeon in the operating room: to avoid contaminating the environment. This is a paradigm shift adopted by many countries: we do not wear a mask to protect ourselves, but we all wear a screen to protect others. This idea is supported by four studies from 2008 to 2020, showing the effectiveness of a home-made anti-postillation screens, using a tea towel, T-shirt or cotton.(1–4) These screens protect the environment and are better than nothing, in cases of surgical or N95 masks shortages. Using home-made screens allows certified masks to be reserved for caregivers, and generalised wearing of masks does not lead to stigmatisation, contrary to sporadic wearing. While the anti-postillation screen can protect the environment when worn collectively, it can also protect the wearer by three mechanisms: a filtering effect (1,2) the limitation of manuportage (hand-to-mouth contact), and the social distancing favoured by wearing the screen. On the basis of these arguments, the precautionary principle would suggest that the wearing of anti-postillation screens should be generalised, as the sixth barrier measure in France, given the possibly significant impact on transmission, compared to the low impact on social and economic life.(5) But, as these screens are not certified, the French government never refers to them as a barrier measure. On the contrary, some political figures refer to “the uselessness”, “the ignorance about how to wear it properly”, “the poor hand washing due to wearing a mask”, “the risk of not respecting the social distance”, etc. These arguments do not support the reality, since alcohol sanitiser gel/fluid is missing, and intervals between supermarket shelves rarely exceeds one metre. Widespread-wearing of masks seems to be postponed until 11th May, when we can ensure the production of validated masks for workers, and then for general public… too late! The 1918 pandemic feedback showed that early public health measures work best, and there was no question of administrative certification at that time.(6) Finally, the coronavirus pandemic always seems to be ahead. Several countries or regions have made the wearing of face masks mandatory in the public space: Czech Republic (19 March), Austria, Slovenia (31 March), Lombardy, Slovakia (4 April), Canada (6 April), Luxembourg (8 April), Morocco (9 April), Portugal (13 April), Poland (16 April), Saxony (17 April). The US Centers for Disease Control and Prevention (CDC) has been recommending this generalised measure since 3 April; their European counterpart issued the same opinion on 8 April. This measure must be generalised, piloted by the governments. Yet today there is a continued delay for some countries in making a decision on masked containment. References 1. van der Sande M, Teunis P, Sabel R. Professional and home-made face masks reduce exposure to respiratory infections among the general population. PLoS ONE 2008;3(7):e2618. 2. Davies A, Thompson K-A, Giri K, Kafatos G, Walker J, Bennett A. Testing the efficacy of homemade masks: would they protect in an influenza pandemic? Disaster Med Public Health Prep 2013;7(4):413–8. 3. Bae S, Kim M-C, Kim JY, et al. Effectiveness of Surgical and Cotton Masks in Blocking SARS–CoV-2: A Controlled Comparison in 4 Patients. Ann Intern Med [Internet] 2020 [cited 2020 Apr 8]. Available from: https://annals.org/aim/fullarticle/2764367/effectiveness-surgical-cotton-masks-blocking-sars-cov-2-controlled-comparison 4. Ma Q-X, Shan H, Zhang H-L, Li G-M, Yang R-M, Chen J-M. Potential utilities of mask wearing and instant hand hygiene for fighting SARS-CoV-2. J Med Virol 2020; 5. Greenhalgh T, Schmid MB, Czypionka T, Bassler D, Gruer L. Face masks for the public during the covid-19 crisis. BMJ [Internet] 2020 [cited 2020 Apr 10];369. Available from: https://www.bmj.com/content/369/bmj.m1435 6. Bootsma MCJ, Ferguson NM. The effect of public health measures on the 1918 influenza pandemic in U.S. cities. Proc Natl Acad Sci USA 2007;104(18):7588–93.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n From domperidone to metopimazine: Anticipating the media impact of pharmacovigilance announcements.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Potey, C.; Gautier, S.; and Béné, J.\n\n\n \n\n\n\n Therapie,S0040–5957(20)30188–8. October 2020.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_domperidone_2020,\n\ttitle = {From domperidone to metopimazine: {Anticipating} the media impact of pharmacovigilance announcements},\n\tissn = {1958-5578},\n\tshorttitle = {From domperidone to metopimazine},\n\tdoi = {10.1016/j.therap.2020.10.002},\n\tlanguage = {eng},\n\tjournal = {Therapie},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Potey, Camille and Gautier, Sophie and Béné, Johana},\n\tmonth = oct,\n\tyear = {2020},\n\tpmid = {33190851},\n\tkeywords = {Antiemetics, Domperidone, Media impact, Metopimazine, Pharmacovigilance},\n\tpages = {S0040--5957(20)30188--8},\n}\n\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Diabétiques de type 2 suivis en médecine générale : séquences de traitements et évolution.\n \n \n \n\n\n \n Boullenger, L.; Balcaen, T.; Calafiore, M.; Legrand, B.; Rochoy, M.; and Chazard, E.\n\n\n \n\n\n\n Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique, 68: S23. March 2020.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{boullenger_diabetiques_2020,\n\ttitle = {Diabétiques de type 2 suivis en médecine générale : séquences de traitements et évolution},\n\tvolume = {68},\n\tshorttitle = {Diabétiques de type 2 suivis en médecine générale},\n\tdoi = {10.1016/j.respe.2020.01.050},\n\tabstract = {Introduction\nLe traitement des diabétiques de type 2 repose sur le régime, les antidiabétiques oraux (ADO) et l’insuline. L’enchaînement des séquences et l’évolution du poids et de l’hémoglobine glyquée (HbA1c) ont été décrites aux USA et en Australie notamment, pas en France. La plupart des cabinets de médecine générale sont informatisés, mais à ce jour très peu de données ambulatoires sont exploitées en France, en dehors des données de remboursement. L’objectif est de réutiliser des données de médecine générale pour décrire l’évolution des patients diabétiques de type 2 traités en ville.\n\nMéthodes\nLes données d’un cabinet de groupe de médecine générale de Tourcoing de 2006 à 2018 sont analysées. Pour les patients diabétiques de type 2, sont analysés : traitements, diagnostics, résultats d’analyse de biologie médicale, taille et poids. Les femmes enceintes sont exclues.\n\nRésultats\nSont inclus : 403 patients, 1030 séquences de traitement, 39 042 consultations, 2440 mesures d’HbA1c et 9722 poids. À l’inclusion, on trouve 50,1 \\% de femmes, un âge moyen de 57,0 ans, un poids moyen de 84,4 kg, un IMC moyen de 30,3 kg/m². L’HbA1c médiane est de 6,8 \\%. Les patients sont sous régime (40,7 \\%), ADO (54,1 \\%) ou insuline (5,2 \\%). Le suivi dure en médiane 3,51 ans. On observe en moyenne 5,18 poids par an et par patient, et 1,30 HbA1c. Pour les 375 patients compatibles avec une séquence « régime puis ADO puis insuline » (durées et âges médians), le régime commence à 54,7 ans et se termine après 3,71 ans, le traitement oral commence à 56,6 ans et dure 3,61 ans, enfin le traitement par insuline commence à 62,5 ans. Le poids est stable deux ans sous régime puis augmente, puis est stable sous ADO, puis finit par diminuer sous insuline. L’HbA1c baisse puis remonte sous régime, est stable sous ADO, puis diminue sous insuline.\n\nDiscussion/Conclusion\nCes résultats descriptifs sont utiles pour anticiper et expliquer aux patients leur évolution. Ils illustrent la richesse des données de médecine générale, et leur potentiel de réutilisation.},\n\tjournal = {Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique},\n\tauthor = {Boullenger, L. and Balcaen, T. and Calafiore, Matthieu and Legrand, B. and Rochoy, Michaël and Chazard, E.},\n\tmonth = mar,\n\tyear = {2020},\n\tpages = {S23},\n}\n\n
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\n Introduction Le traitement des diabétiques de type 2 repose sur le régime, les antidiabétiques oraux (ADO) et l’insuline. L’enchaînement des séquences et l’évolution du poids et de l’hémoglobine glyquée (HbA1c) ont été décrites aux USA et en Australie notamment, pas en France. La plupart des cabinets de médecine générale sont informatisés, mais à ce jour très peu de données ambulatoires sont exploitées en France, en dehors des données de remboursement. L’objectif est de réutiliser des données de médecine générale pour décrire l’évolution des patients diabétiques de type 2 traités en ville. Méthodes Les données d’un cabinet de groupe de médecine générale de Tourcoing de 2006 à 2018 sont analysées. Pour les patients diabétiques de type 2, sont analysés : traitements, diagnostics, résultats d’analyse de biologie médicale, taille et poids. Les femmes enceintes sont exclues. Résultats Sont inclus : 403 patients, 1030 séquences de traitement, 39 042 consultations, 2440 mesures d’HbA1c et 9722 poids. À l’inclusion, on trouve 50,1 % de femmes, un âge moyen de 57,0 ans, un poids moyen de 84,4 kg, un IMC moyen de 30,3 kg/m². L’HbA1c médiane est de 6,8 %. Les patients sont sous régime (40,7 %), ADO (54,1 %) ou insuline (5,2 %). Le suivi dure en médiane 3,51 ans. On observe en moyenne 5,18 poids par an et par patient, et 1,30 HbA1c. Pour les 375 patients compatibles avec une séquence « régime puis ADO puis insuline » (durées et âges médians), le régime commence à 54,7 ans et se termine après 3,71 ans, le traitement oral commence à 56,6 ans et dure 3,61 ans, enfin le traitement par insuline commence à 62,5 ans. Le poids est stable deux ans sous régime puis augmente, puis est stable sous ADO, puis finit par diminuer sous insuline. L’HbA1c baisse puis remonte sous régime, est stable sous ADO, puis diminue sous insuline. Discussion/Conclusion Ces résultats descriptifs sont utiles pour anticiper et expliquer aux patients leur évolution. Ils illustrent la richesse des données de médecine générale, et leur potentiel de réutilisation.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Statistically Prioritized and Contextualized Clinical Decision Support Systems, the Future of Adverse Drug Events Prevention?.\n \n \n \n\n\n \n Chazard, E.; Beuscart, J.; Rochoy, M.; Dalleur, O.; Décaudin, B.; Odou, P.; and Ficheur, G.\n\n\n \n\n\n\n Studies in health technology and informatics, 270: 683–687. June 2020.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{chazard_statistically_2020,\n\ttitle = {Statistically {Prioritized} and {Contextualized} {Clinical} {Decision} {Support} {Systems}, the {Future} of {Adverse} {Drug} {Events} {Prevention}?},\n\tvolume = {270},\n\tdoi = {10.3233/SHTI200247},\n\tabstract = {Clinical decision support systems (CDSS) fail to prevent adverse drug events (ADE), notably due to over-alerting and alert-fatigue. Many methods have been proposed in the literature to reduce over-alerting of CDSS: enhancing post-alert medical management, taking into account user-related context, patient-related context and temporal aspects, improving medical relevance of alerts, filtering or tiering alerts on the basis of their strength of evidence, their severity, their override rate, or the probability of outcome. This paper analyzes the different options, and proposes the setup of SPC-CDSS (statistically prioritized and contextualized CDSS). The principle is that, when a SPC-CDSS is implemented in a medical unit, it first reuses actual clinical data, and searches for traceable outcomes. Then, for each rule trying to prevent this outcome, the SPC-CDSS automatically estimates the conditional probability of outcome knowing that the conditions of the rule are met, by retrospective secondary use of data. The alert can be turned off below a chosen probability threshold. This probability computation can be performed in each medical unit, in order to take into account its sensitivity to context.},\n\tjournal = {Studies in health technology and informatics},\n\tauthor = {Chazard, Emmanuel and Beuscart, Jean-Baptiste and Rochoy, Michaël and Dalleur, Olivia and Décaudin, Bertrand and Odou, Pascal and Ficheur, Grégoire},\n\tmonth = jun,\n\tyear = {2020},\n\tpages = {683--687},\n}\n\n
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\n Clinical decision support systems (CDSS) fail to prevent adverse drug events (ADE), notably due to over-alerting and alert-fatigue. Many methods have been proposed in the literature to reduce over-alerting of CDSS: enhancing post-alert medical management, taking into account user-related context, patient-related context and temporal aspects, improving medical relevance of alerts, filtering or tiering alerts on the basis of their strength of evidence, their severity, their override rate, or the probability of outcome. This paper analyzes the different options, and proposes the setup of SPC-CDSS (statistically prioritized and contextualized CDSS). The principle is that, when a SPC-CDSS is implemented in a medical unit, it first reuses actual clinical data, and searches for traceable outcomes. Then, for each rule trying to prevent this outcome, the SPC-CDSS automatically estimates the conditional probability of outcome knowing that the conditions of the rule are met, by retrospective secondary use of data. The alert can be turned off below a chosen probability threshold. This probability computation can be performed in each medical unit, in order to take into account its sensitivity to context.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Recherche de facteurs associés à la maladie d’Alzheimer par fouille statistique de données de la base nationale du PMSI.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Bordet, R.; Gautier, S.; Ficheur, G.; and Chazard, E.\n\n\n \n\n\n\n Revue Epidémiologie Santé Publique, 67. February 2019.\n Publication Title: Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique\n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_recherche_2019,\n\ttitle = {Recherche de facteurs associés à la maladie d’{Alzheimer} par fouille statistique de données de la base nationale du {PMSI}},\n\tvolume = {67},\n\tdoi = {10.1016/j.respe.2019.01.019},\n\tabstract = {Introduction\nL’objectif est de rechercher des facteurs associés à la maladie ou démence d’Alzheimer par data mining.\n\nMéthodes\nLa base de données nationale du PMSI comprend 23,8 millions de séjours hospitaliers en 2008 et 27,1 en 2014. Tous les patients âgés de 50 ans ou plus en 2008 et indemnes de démence (G30*, F00–F03*, F067*) sont inclus. Les variables disponibles en 2008 sont regroupées en 137 caractéristiques, utilisées pour prédire la maladie ou démence d’Alzheimer en 2014 (G30*, F00*). Dans chaque strate (classes d’âge de cinq ans), les 20 variables les plus explicatives sont sélectionnées par forêt aléatoire et leurs interactions sont recherchées. Une régression logistique pas à pas permet de calculer les odds ratios ajustés.\n\nRésultats\nAu total 1 384 966 patients sont analysés. Chez les 70–75 ans (14,7 \\% des patients, dont 3,97 \\% d’Alzheimer en 2014) par exemple, on retrouve les facteurs de risque suivants : trouble psychotique (1,09 [1,07 ; 1,11]), hypertension intracrânienne (1,08 [1,05 ; 1,11]), épilepsie (1,06 [1,05 ; 1,07]), AVC hémorragique (1,05 [1,04 ; 1,07]), dépression (1,04 [1,03 ; 1,05]), trouble bipolaire (1,04 [1,02 ; 1,06]), intoxication (1,03 [1,02 ; 1,04]), abus d’alcool (1,03 [1,02 ; 1,04]), troubles anxieux (1,03 [1,02 ; 1,03]), dénutrition (1,03 [1,01 ; 1,04]), maladie de Parkinson (1,02 [1,02 ; 1,03]), âge (par année) (1,01 [1,01 ; 1,01]), et diabète (1,01 [1,01 ; 1,01]). On retrouve les facteurs protecteurs suivants : troubles du mouvement non-parkinsoniens (0,99 [0,97 ; 1,00]), antécédent familial de cancer (0,99 [0,98 ; 1,00]), polyarthrite rhumatoïde (0,99 [0,98 ; 1,00]), sexe masculin (0,99 [0,99 ; 0,99]), et cancer (0,99 [0,99 ; 0,99]).\n\nDiscussion/Conclusion\nLes facteurs de risque retrouvés sont confirmés par la littérature, hormis l’hypertension intracrânienne. Ces facteurs sont tantôt causes possibles, facteurs associés (notamment vasculaires), symptômes précoces, ou facteurs de confusion. Ces séjours étant uniquement hospitaliers, les motifs autres de ré-hospitalisation apparaissent artificiellement protecteurs. Ces résultats sont intéressants pour orienter de futures recherches à l’aide de protocoles plus robustes mais plus onéreux.},\n\tjournal = {Revue Epidémiologie Santé Publique},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Bordet, Régis and Gautier, Sophie and Ficheur, Grégoire and Chazard, Emmanuel},\n\tmonth = feb,\n\tyear = {2019},\n\tnote = {Publication Title: Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique},\n}\n\n
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\n Introduction L’objectif est de rechercher des facteurs associés à la maladie ou démence d’Alzheimer par data mining. Méthodes La base de données nationale du PMSI comprend 23,8 millions de séjours hospitaliers en 2008 et 27,1 en 2014. Tous les patients âgés de 50 ans ou plus en 2008 et indemnes de démence (G30*, F00–F03*, F067*) sont inclus. Les variables disponibles en 2008 sont regroupées en 137 caractéristiques, utilisées pour prédire la maladie ou démence d’Alzheimer en 2014 (G30*, F00*). Dans chaque strate (classes d’âge de cinq ans), les 20 variables les plus explicatives sont sélectionnées par forêt aléatoire et leurs interactions sont recherchées. Une régression logistique pas à pas permet de calculer les odds ratios ajustés. Résultats Au total 1 384 966 patients sont analysés. Chez les 70–75 ans (14,7 % des patients, dont 3,97 % d’Alzheimer en 2014) par exemple, on retrouve les facteurs de risque suivants : trouble psychotique (1,09 [1,07 ; 1,11]), hypertension intracrânienne (1,08 [1,05 ; 1,11]), épilepsie (1,06 [1,05 ; 1,07]), AVC hémorragique (1,05 [1,04 ; 1,07]), dépression (1,04 [1,03 ; 1,05]), trouble bipolaire (1,04 [1,02 ; 1,06]), intoxication (1,03 [1,02 ; 1,04]), abus d’alcool (1,03 [1,02 ; 1,04]), troubles anxieux (1,03 [1,02 ; 1,03]), dénutrition (1,03 [1,01 ; 1,04]), maladie de Parkinson (1,02 [1,02 ; 1,03]), âge (par année) (1,01 [1,01 ; 1,01]), et diabète (1,01 [1,01 ; 1,01]). On retrouve les facteurs protecteurs suivants : troubles du mouvement non-parkinsoniens (0,99 [0,97 ; 1,00]), antécédent familial de cancer (0,99 [0,98 ; 1,00]), polyarthrite rhumatoïde (0,99 [0,98 ; 1,00]), sexe masculin (0,99 [0,99 ; 0,99]), et cancer (0,99 [0,99 ; 0,99]). Discussion/Conclusion Les facteurs de risque retrouvés sont confirmés par la littérature, hormis l’hypertension intracrânienne. Ces facteurs sont tantôt causes possibles, facteurs associés (notamment vasculaires), symptômes précoces, ou facteurs de confusion. Ces séjours étant uniquement hospitaliers, les motifs autres de ré-hospitalisation apparaissent artificiellement protecteurs. Ces résultats sont intéressants pour orienter de futures recherches à l’aide de protocoles plus robustes mais plus onéreux.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Réutilisation de données de soins de médecine générale. Exemples de la gale et de la prise de poids sous contraception.\n \n \n \n\n\n \n Chazard, E.; Ficheur, G.; Delattre, C.; Grujon, A.; Calafiore, M.; Rochoy, M.; and Legrand, B.\n\n\n \n\n\n\n Revue Epidémiologie Santé Publique, 67. February 2019.\n Publication Title: Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique\n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{chazard_reutilisation_2019,\n\ttitle = {Réutilisation de données de soins de médecine générale. {Exemples} de la gale et de la prise de poids sous contraception},\n\tvolume = {67},\n\tdoi = {10.1016/j.respe.2019.01.095},\n\tabstract = {Introduction\nLa réutilisation de données structurées de santé s’intéresse le plus souvent aux données intra-hospitalières (incluant le PMSI) ou aux données de consommation ambulatoire de soins (incluant le Sniiram). Les données de soins de médecine générale sont pourtant fortement prometteuses. L’objectif de ce travail est de présenter les données types réutilisables et d’illustrer cet enjeu à travers deux études : la gale et l’évolution du poids sous contraception non-mécanique.\n\nMéthodes\nLa base de données du Cabinet médical de la Bourgogne comprend 14 685 patients, 417 113 consultations, 230 473 diagnostics, 719 357 lignes de prescription, 299 323 résultats de biologie médicale et 300 692 valeurs biométriques. Les données sont analysées dans chaque thématique en respectant cinq phases de réutilisation de données (« data reuse ») dont l’extraction de caractéristiques (« feature extraction »).\n\nRésultats\nGale : L’incidence de l’infection s’avère trois fois plus fréquente qu’attendu (1040/100 000 habitants/an). L’analyse de 177 cas montre une surincidence chez les jeunes garçons et les femmes de 40–50 ans, en période automno-hivernale (12,4 \\% rien qu’en janvier). Le taux de récidive est de 23,7 \\%, avec un délai médian de 28 jours, et une prédominance hivernale (68,8 \\% des récidives, p = 0,021). Contraception : L’analyse comprend 277 patientes et 341 séquences, avec un âge médian de 27,9 ans. On retrouve 62,2 \\% d’oestro-progestatifs de 2e génération, 31,1 \\% de progestatifs, 5,57 \\% d’oestro-progestatifs de 3ème génération et 1,17 \\% de DIU au cuivre. La variation moyenne de poids à trois mois était de −0,168 kg [−0,546 ; 0,209], non significativement différente de zéro (p = 0,38, idem à 1,5, 6 ou 12 mois).\n\nDiscussion/Conclusion\nLe marché du logiciel de dossier patient pour cabinet libéral est relativement peu fragmenté, ce qui permet de facto une certaine interopérabilité. Ces logiciels stockent des données riches et prometteuses, notamment du fait de la rédaction informatisée d’ordonnances et de l’envoi systématique de résultats par les laboratoires de biologie médicale. Ces promesses vont très au-delà de la simple analyse des remboursements de médicaments, actuellement en vogue.},\n\tjournal = {Revue Epidémiologie Santé Publique},\n\tauthor = {Chazard, Emmanuel and Ficheur, Grégoire and Delattre, Claire and Grujon, Anaëlle and Calafiore, Matthieu and Rochoy, Michaël and Legrand, Bertrand},\n\tmonth = feb,\n\tyear = {2019},\n\tnote = {Publication Title: Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique},\n}\n\n
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\n Introduction La réutilisation de données structurées de santé s’intéresse le plus souvent aux données intra-hospitalières (incluant le PMSI) ou aux données de consommation ambulatoire de soins (incluant le Sniiram). Les données de soins de médecine générale sont pourtant fortement prometteuses. L’objectif de ce travail est de présenter les données types réutilisables et d’illustrer cet enjeu à travers deux études : la gale et l’évolution du poids sous contraception non-mécanique. Méthodes La base de données du Cabinet médical de la Bourgogne comprend 14 685 patients, 417 113 consultations, 230 473 diagnostics, 719 357 lignes de prescription, 299 323 résultats de biologie médicale et 300 692 valeurs biométriques. Les données sont analysées dans chaque thématique en respectant cinq phases de réutilisation de données (« data reuse ») dont l’extraction de caractéristiques (« feature extraction »). Résultats Gale : L’incidence de l’infection s’avère trois fois plus fréquente qu’attendu (1040/100 000 habitants/an). L’analyse de 177 cas montre une surincidence chez les jeunes garçons et les femmes de 40–50 ans, en période automno-hivernale (12,4 % rien qu’en janvier). Le taux de récidive est de 23,7 %, avec un délai médian de 28 jours, et une prédominance hivernale (68,8 % des récidives, p = 0,021). Contraception : L’analyse comprend 277 patientes et 341 séquences, avec un âge médian de 27,9 ans. On retrouve 62,2 % d’oestro-progestatifs de 2e génération, 31,1 % de progestatifs, 5,57 % d’oestro-progestatifs de 3ème génération et 1,17 % de DIU au cuivre. La variation moyenne de poids à trois mois était de −0,168 kg [−0,546 ; 0,209], non significativement différente de zéro (p = 0,38, idem à 1,5, 6 ou 12 mois). Discussion/Conclusion Le marché du logiciel de dossier patient pour cabinet libéral est relativement peu fragmenté, ce qui permet de facto une certaine interopérabilité. Ces logiciels stockent des données riches et prometteuses, notamment du fait de la rédaction informatisée d’ordonnances et de l’envoi systématique de résultats par les laboratoires de biologie médicale. Ces promesses vont très au-delà de la simple analyse des remboursements de médicaments, actuellement en vogue.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Factors Associated with Alzheimer's Disease: An Overview of Reviews.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Rivas, V.; Chazard, E.; Decarpentry, E.; Saudemont, G.; Hazard, P.; Puisieux, F.; Gautier, S.; and Bordet, R.\n\n\n \n\n\n\n Journal of Alzheimer's disease: JAD. April 2019.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_factors_2019,\n\ttitle = {Factors {Associated} with {Alzheimer}'s {Disease}: {An} {Overview} of {Reviews}},\n\tshorttitle = {Factors {Associated} with {Alzheimer}'s {Disease}},\n\tdoi = {10.14283/jpad.2019.7},\n\tabstract = {Alzheimer's disease (AD) is a frequent pathology, with a poor prognosis, for which no curative treatment is available in 2018. AD prevention is an important issue, and is an important research topic. In this manuscript, we have synthesized the literature reviews and meta-analyses relating to modifiable risk factors associated with AD. Smoking, diabetes, high blood pressure, obesity, hypercholesterolemia, physical inactivity, depression, head trauma, heart failure, bleeding and ischemic strokes, sleep apnea syndrome appeared to be associated with an increased risk of AD. In addition to these well-known associations, we highlight here the existence of associated factors less described: hyperhomocysteinemia, hearing loss, essential tremor, occupational exposure to magnetic fields. On the contrary, some oral antidiabetic drugs, education and intellectual activity, a Mediterranean-type diet or using Healthy Diet Indicator, consumption of unsaturated fatty acids seemed to have a protective effect. Better knowledge of risk factors for AD allows for better identification of patients at risk. This may contribute to the emergence of prevention policies to delay or prevent the onset of AD.},\n\tjournal = {Journal of Alzheimer's disease: JAD},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Rivas, Vincent and Chazard, Emmanuel and Decarpentry, Emeline and Saudemont, Gaetan and Hazard, Pierre-Alexandre and Puisieux, François and Gautier, Sophie and Bordet, Régis},\n\tmonth = apr,\n\tyear = {2019},\n}\n\n
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\n Alzheimer's disease (AD) is a frequent pathology, with a poor prognosis, for which no curative treatment is available in 2018. AD prevention is an important issue, and is an important research topic. In this manuscript, we have synthesized the literature reviews and meta-analyses relating to modifiable risk factors associated with AD. Smoking, diabetes, high blood pressure, obesity, hypercholesterolemia, physical inactivity, depression, head trauma, heart failure, bleeding and ischemic strokes, sleep apnea syndrome appeared to be associated with an increased risk of AD. In addition to these well-known associations, we highlight here the existence of associated factors less described: hyperhomocysteinemia, hearing loss, essential tremor, occupational exposure to magnetic fields. On the contrary, some oral antidiabetic drugs, education and intellectual activity, a Mediterranean-type diet or using Healthy Diet Indicator, consumption of unsaturated fatty acids seemed to have a protective effect. Better knowledge of risk factors for AD allows for better identification of patients at risk. This may contribute to the emergence of prevention policies to delay or prevent the onset of AD.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Attirance des étudiants en quatrième année de médecine pour la médecine générale.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Tchokonté-Djiako, S.; Favre, J.; Bayen, M.; Cunin, M.; Lefebvre, J.; and Messaadi, N.\n\n\n \n\n\n\n Exercer, 15: 233–240. May 2019.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_attirance_2019,\n\ttitle = {Attirance des étudiants en quatrième année de médecine pour la médecine générale},\n\tvolume = {15},\n\tdoi = {10.1684/med.2019.447},\n\tabstract = {Résumé\nLa filière universitaire de médecine générale est apparue en 2008 et s’ins- taure progressivement dans les études médicales, notamment dans le deu- xième cycle. L’objectif était de décrire l’évolution de l’attirance des étudiants en quatrième année de médecine de Lille pour la médecine générale, à travers les évaluations du séminaire obligatoire de la discipline sur quatre années (2012 à 2015). L’attirance des étudiants pour la médecine générale a progressé. Les étudiants sont de plus en plus nombreux à avoir des notions sur la discipline médecine générale. Ils plé- biscitent la rencontre précoce avec la médecine générale au cours de leur cursus.},\n\tjournal = {Exercer},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Tchokonté-Djiako, Sandrine and Favre, Jonathan and Bayen, M. and Cunin, Michel and Lefebvre, Jean-Marc and Messaadi, Nassir},\n\tmonth = may,\n\tyear = {2019},\n\tpages = {233--240},\n}\n\n
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\n Résumé La filière universitaire de médecine générale est apparue en 2008 et s’ins- taure progressivement dans les études médicales, notamment dans le deu- xième cycle. L’objectif était de décrire l’évolution de l’attirance des étudiants en quatrième année de médecine de Lille pour la médecine générale, à travers les évaluations du séminaire obligatoire de la discipline sur quatre années (2012 à 2015). L’attirance des étudiants pour la médecine générale a progressé. Les étudiants sont de plus en plus nombreux à avoir des notions sur la discipline médecine générale. Ils plé- biscitent la rencontre précoce avec la médecine générale au cours de leur cursus.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Do Medical Practitioners Trust Automated Interpretation of Electrocardiograms?.\n \n \n \n\n\n \n Delrot, C.; Bouzillé, G.; Calafiore, M.; Rochoy, M.; Legrand, B.; Ficheur, G.; and Chazard, E.\n\n\n \n\n\n\n Studies in health technology and informatics, 264: 536–540. August 2019.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{delrot_medical_2019,\n\ttitle = {Do {Medical} {Practitioners} {Trust} {Automated} {Interpretation} of {Electrocardiograms}?},\n\tvolume = {264},\n\tdoi = {10.3233/SHTI190280},\n\tabstract = {The objective is to study the way physicians use the ECG computerized interpretation (ECG-CI). Anonymous questionnaires were mailed to 282 primary care physicians (PCPs) and 140 cardiologists in France. 225 complete surveys were analyzed. PCPs performed a median of 5 ECGs per month, vs. 200 ECGs for cardiologists. Among PCPs with ECG, 57\\% felt confident about their skills in interpreting ECGs. Whereas 91.7\\% of cardiologists first interpreted the ECG by themselves, 27.9\\% of PCPs first read the computerized interpretation. PCPs found that ECG-CI was more reliable than cardiologists did for atrial or ventricular hypertrophy. PCPs and cardiologists agreed that ECG-CI was reliable for conduction troubles and "normal ECG" statement, but was not for other rhythm or repolarization troubles. PCPs are less experienced with ECG interpretation, but are also more likely to trust the computerized interpretation, whereas those interpreters are not fully reliable.},\n\tjournal = {Studies in health technology and informatics},\n\tauthor = {Delrot, Cédric and Bouzillé, Guillaume and Calafiore, Matthieu and Rochoy, Michaël and Legrand, Bertrand and Ficheur, Grégoire and Chazard, Emmanuel},\n\tmonth = aug,\n\tyear = {2019},\n\tpages = {536--540},\n}\n\n
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\n The objective is to study the way physicians use the ECG computerized interpretation (ECG-CI). Anonymous questionnaires were mailed to 282 primary care physicians (PCPs) and 140 cardiologists in France. 225 complete surveys were analyzed. PCPs performed a median of 5 ECGs per month, vs. 200 ECGs for cardiologists. Among PCPs with ECG, 57% felt confident about their skills in interpreting ECGs. Whereas 91.7% of cardiologists first interpreted the ECG by themselves, 27.9% of PCPs first read the computerized interpretation. PCPs found that ECG-CI was more reliable than cardiologists did for atrial or ventricular hypertrophy. PCPs and cardiologists agreed that ECG-CI was reliable for conduction troubles and \"normal ECG\" statement, but was not for other rhythm or repolarization troubles. PCPs are less experienced with ECG interpretation, but are also more likely to trust the computerized interpretation, whereas those interpreters are not fully reliable.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Préférences des médecins généralistes libéraux en France métropolitaine quant à la délégation des tâches médico-administratives aux secrétaires assistant (e) s médico-social (e) s : étude en analyse conjointe.\n \n \n \n\n\n \n Chanu, A; Caron, A; Ficheur, G; Berkhout, C; Duhamel, A; and Rochoy, M\n\n\n \n\n\n\n Revue Epidémiologie Santé Publique, 66(3): 171–180. 2018.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{chanu_preferences_2018,\n\ttitle = {Préférences des médecins généralistes libéraux en {France} métropolitaine quant à la délégation des tâches médico-administratives aux secrétaires assistant (e) s médico-social (e) s : étude en analyse conjointe.},\n\tvolume = {66},\n\tshorttitle = {Préférences des médecins généralistes libéraux en {France} métropolitaine quant à la délégation des tâches médico-administratives aux secrétaires assistant (e) s médico-social (e) s},\n\tnumber = {3},\n\tjournal = {Revue Epidémiologie Santé Publique},\n\tauthor = {Chanu, A and Caron, A and Ficheur, G and Berkhout, C and Duhamel, A and Rochoy, M},\n\tyear = {2018},\n\tpages = {171--180},\n}\n\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Résultats fonctionnels sur une cohorte lilloise des différentes stratégies thérapeutiques chez le patient claudicant.\n \n \n \n\n\n \n Debruyne, S.; Sobocinski, J.; Rochoy, M.; Madika, A.; Sevestre, M.; and Mounier-Vehier, C.\n\n\n \n\n\n\n JMV-Journal de Médecine Vasculaire, 43: 139. March 2018.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{debruyne_resultats_2018,\n\ttitle = {Résultats fonctionnels sur une cohorte lilloise des différentes stratégies thérapeutiques chez le patient claudicant},\n\tvolume = {43},\n\tdoi = {10.1016/j.jdmv.2017.12.145},\n\tabstract = {Introduction\nLa claudication du patient artériopathe l’amène à réduire ses activités physiques quotidiennes avec un impact délétère sur les facteurs de risque cardiovasculaires (CV). La sédentarité participe à l’évolutivité de la maladie athéromateuse. Cette étude a comparé les résultats fonctionnels (qualité de vie et distance de marche parcourue) de 3 stratégies thérapeutiques actuellement préconisées dans l’artériopathie des membres inférieurs.\n\nMéthode\nDe janvier 2013 à décembre 2015, nous avons étudié une population de patients claudicants (stade 1-2-3 de Rutherford) ayant consulté à l’hôpital cardiologique de Lille dans les services de médecine et chirurgie vasculaires. Suivant le mode de prise en charge initial, nous avons constitué trois groupes : réadaptation seule (G1), prise en charge combinée associant réadaptation et revascularisation (G2) ou revascularisation seule (G3). Le critère de jugement principal reposait sur l’évolution du périmètre de marche après prise en charge initiale et au cours du suivi. Cette évaluation était déterminée de manière objective par un test de marche et de manière subjective par le clinicien. Les objectifs secondaires étaient la survenue d’évènements cardiovasculaires au cours du suivi. Le seuil de significativité était à 5 \\%.\n\nRésultats\nCent seize patients ont été inclus (41, 40 et 35 respectivement dans les 3 groupes). Le suivi médian était de 4 ans. Il était noté une amélioration significative de la distance de marche dans les trois groupes (p = 0,018), avec un bénéfice plus important pour les patients du groupe 2 (+ 87,5 \\% vs + 61 \\% dans G1 et + 56 \\% dans G3 ; p = 0,018). Sur le plan fonctionnel, une amélioration significative de la qualité de vie et des douleurs était relevée au cours du suivi (p = 0,006) quel que soit le mode de prise en charge, en particulier pour le groupe 2 (+ 79 \\% vs + 42 \\% dans G1 et + 48 \\% dans G3 ; p = 0,0025). La majorité des patients présentant une complication cardiovasculaire après traitement initial était des patients en revascularisation seule (G3 : 49 \\%) avec notamment plus d’AVC dans ce dernier groupe (p = 0,019).\n\nConclusion\nNotre étude souligne le bénéfice fonctionnel plus important d’une prise en charge combinée chez le patient claudicant, comparativement à la revascularisation ou à la réadaptation vasculaire prescrites isolément.},\n\tjournal = {JMV-Journal de Médecine Vasculaire},\n\tauthor = {Debruyne, S. and Sobocinski, J. and Rochoy, Michaël and Madika, A.-L and Sevestre, M.-A and Mounier-Vehier, C.},\n\tmonth = mar,\n\tyear = {2018},\n\tpages = {139},\n}\n\n
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\n Introduction La claudication du patient artériopathe l’amène à réduire ses activités physiques quotidiennes avec un impact délétère sur les facteurs de risque cardiovasculaires (CV). La sédentarité participe à l’évolutivité de la maladie athéromateuse. Cette étude a comparé les résultats fonctionnels (qualité de vie et distance de marche parcourue) de 3 stratégies thérapeutiques actuellement préconisées dans l’artériopathie des membres inférieurs. Méthode De janvier 2013 à décembre 2015, nous avons étudié une population de patients claudicants (stade 1-2-3 de Rutherford) ayant consulté à l’hôpital cardiologique de Lille dans les services de médecine et chirurgie vasculaires. Suivant le mode de prise en charge initial, nous avons constitué trois groupes : réadaptation seule (G1), prise en charge combinée associant réadaptation et revascularisation (G2) ou revascularisation seule (G3). Le critère de jugement principal reposait sur l’évolution du périmètre de marche après prise en charge initiale et au cours du suivi. Cette évaluation était déterminée de manière objective par un test de marche et de manière subjective par le clinicien. Les objectifs secondaires étaient la survenue d’évènements cardiovasculaires au cours du suivi. Le seuil de significativité était à 5 %. Résultats Cent seize patients ont été inclus (41, 40 et 35 respectivement dans les 3 groupes). Le suivi médian était de 4 ans. Il était noté une amélioration significative de la distance de marche dans les trois groupes (p = 0,018), avec un bénéfice plus important pour les patients du groupe 2 (+ 87,5 % vs + 61 % dans G1 et + 56 % dans G3 ; p = 0,018). Sur le plan fonctionnel, une amélioration significative de la qualité de vie et des douleurs était relevée au cours du suivi (p = 0,006) quel que soit le mode de prise en charge, en particulier pour le groupe 2 (+ 79 % vs + 42 % dans G1 et + 48 % dans G3 ; p = 0,0025). La majorité des patients présentant une complication cardiovasculaire après traitement initial était des patients en revascularisation seule (G3 : 49 %) avec notamment plus d’AVC dans ce dernier groupe (p = 0,019). Conclusion Notre étude souligne le bénéfice fonctionnel plus important d’une prise en charge combinée chez le patient claudicant, comparativement à la revascularisation ou à la réadaptation vasculaire prescrites isolément.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Dietary supplement consumption leading to hospitalisations: case series.\n \n \n \n\n\n \n Gaboriau, L.; Rochoy, M.; Candice, N.; Béné, J.; and Gautier, S.\n\n\n \n\n\n\n Fundamental and Clinical Pharmacology, 32. May 2018.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{gaboriau_dietary_2018,\n\ttitle = {Dietary supplement consumption leading to hospitalisations: case series},\n\tvolume = {32},\n\tshorttitle = {Dietary supplement consumption leading to hospitalisations},\n\tdoi = {10.1111/fcp.12371},\n\tjournal = {Fundamental and Clinical Pharmacology},\n\tauthor = {Gaboriau, Louise and Rochoy, Michaël and Candice, Niot and Béné, Johana and Gautier, Sophie},\n\tmonth = may,\n\tyear = {2018},\n}\n\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Antidépresseurs et hyponatrémie : revue de littérature et analyse cas/non-cas dans la base nationale de pharmacovigilance française.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Zakhem-Stachera, C.; Béné, J.; Berkhout, C.; and Gautier, S.\n\n\n \n\n\n\n Thérapie, 73. March 2018.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_antidepresseurs_2018,\n\ttitle = {Antidépresseurs et hyponatrémie : revue de littérature et analyse cas/non-cas dans la base nationale de pharmacovigilance française},\n\tvolume = {73},\n\tshorttitle = {Antidépresseurs et hyponatrémie},\n\tdoi = {10.1016/j.therap.2018.02.006},\n\tabstract = {Résumé\n\nObjectif\nLa plupart des antidépresseurs ont été associés à une hyponatrémie dans la littérature. Cet effet indésirable n’est pas toujours rapporté dans les monographies. L’objectif de notre étude était de clarifier la différence d’augmentation de risque d’hyponatrémie parmi les différents antidépresseurs.\n\nMéthode\nÉtude rétrospective de type cas/non-cas à partir des observations enregistrées dans la base nationale française de pharmacovigilance entre le 1er janvier 2004 et le 31 décembre 2013. Nous avons étudié tous les antidépresseurs commercialisés en 2014 en France, avec un témoin positif (halopéridol) et un négatif (amoxicilline). L’association entre l’exposition à un médicament donné et l’occurrence d’un effet indésirable était estimée par le calcul de l’odds-radio rapporté (ROR). Son intervalle de confiance (IC) était calculé avec la méthode de Woolf, avec un risque alpha de 5 \\%. La disproportionnalité est définie par un ROR {\\textgreater} 1 avec un IC95 \\% n’incluant pas la valeur 1.\n\nRésultats\nEntre 2004 et 2013, 3397 cas d’hyponatrémies ont été enregistrés. Tous les antidépresseurs étaient associés à une hyponatrémie parmi ces cas, à l’exception de milnacipran, amoxapine, dosulépine, doxépine, trimipramine, iproniazide. L’effet prédominait pour la classe des inhibiteurs sélectifs de recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSNa) et des autres antidépresseurs ; il semblait plus douteux pour les tricycliques et les inhibiteurs de mono-amine oxydase (IMAO). Contrairement à la littérature, nous trouvions une association entre hyponatrémie et exposition à agomélatine (ROR = 4,1, IC95\\% [2,2 - 7,7]), miansérine (ROR = 2,7, IC95\\% [2,0 - 3,7]) et tianeptine (ROR = 6,1, IC95\\% [4,7 - 7,9]).\n\nConclusion\nCette étude incite à rester vigilant aux troubles ioniques sous tous antidépresseurs, pas seulement sous IRS.},\n\tjournal = {Thérapie},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Zakhem-Stachera, Christina and Béné, Johana and Berkhout, Christophe and Gautier, Sophie},\n\tmonth = mar,\n\tyear = {2018},\n}\n\n
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\n Résumé Objectif La plupart des antidépresseurs ont été associés à une hyponatrémie dans la littérature. Cet effet indésirable n’est pas toujours rapporté dans les monographies. L’objectif de notre étude était de clarifier la différence d’augmentation de risque d’hyponatrémie parmi les différents antidépresseurs. Méthode Étude rétrospective de type cas/non-cas à partir des observations enregistrées dans la base nationale française de pharmacovigilance entre le 1er janvier 2004 et le 31 décembre 2013. Nous avons étudié tous les antidépresseurs commercialisés en 2014 en France, avec un témoin positif (halopéridol) et un négatif (amoxicilline). L’association entre l’exposition à un médicament donné et l’occurrence d’un effet indésirable était estimée par le calcul de l’odds-radio rapporté (ROR). Son intervalle de confiance (IC) était calculé avec la méthode de Woolf, avec un risque alpha de 5 %. La disproportionnalité est définie par un ROR \\textgreater 1 avec un IC95 % n’incluant pas la valeur 1. Résultats Entre 2004 et 2013, 3397 cas d’hyponatrémies ont été enregistrés. Tous les antidépresseurs étaient associés à une hyponatrémie parmi ces cas, à l’exception de milnacipran, amoxapine, dosulépine, doxépine, trimipramine, iproniazide. L’effet prédominait pour la classe des inhibiteurs sélectifs de recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSNa) et des autres antidépresseurs ; il semblait plus douteux pour les tricycliques et les inhibiteurs de mono-amine oxydase (IMAO). Contrairement à la littérature, nous trouvions une association entre hyponatrémie et exposition à agomélatine (ROR = 4,1, IC95% [2,2 - 7,7]), miansérine (ROR = 2,7, IC95% [2,0 - 3,7]) et tianeptine (ROR = 6,1, IC95% [4,7 - 7,9]). Conclusion Cette étude incite à rester vigilant aux troubles ioniques sous tous antidépresseurs, pas seulement sous IRS.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Évaluation théorique et pratique de la connaissance d’utilisation des dispositifs inhalés dans l’asthme chez les internes en médecine générale et les étudiants en pharmacie de Lille.\n \n \n \n\n\n \n Veylon, P.; Rochoy, M.; Gautier, S.; Wallaert, B.; and Berkhout, C.\n\n\n \n\n\n\n Revue de Pneumologie Clinique, 74. March 2018.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{veylon_evaluation_2018,\n\ttitle = {Évaluation théorique et pratique de la connaissance d’utilisation des dispositifs inhalés dans l’asthme chez les internes en médecine générale et les étudiants en pharmacie de {Lille}},\n\tvolume = {74},\n\tdoi = {10.1016/j.pneumo.2018.02.003},\n\tabstract = {Introduction: \nAsthma is a potentially serious chronic respiratory disease impacting patients quality of life. Satisfactory control requires proper use of inhaled devices. This study assesses general medical residents and pharmacy students knowledge about proper use of inhaled asthma devices.\n\nMaterials and methods:\nWe evaluated knowledge of 43 general practice students and 43 pharmacy students in Lille for three inhaler devices (metered-dose inhaler, Turbuhaler®and Diskus®) during individual interviews. Students were assessed on 8 proper use criterias for each device.\n\nResults:\nGeneral practice and pharmacy students are unfamiliar with proper use of inhaler devices. However, pharmacy students get better average scores than general practice students for all devices included in this study: 6.3/8 respected criterias against 5/8 for metered-dose inhaler; 5.3/8 against 3.2/8 for Turbuhaler®; and 6/8 against 4.3/8 for Diskus®. Pharmacy students more frequently perform a demonstration of proper use to patients when a device is first prescribed or when a prescription is renewed; general practice students more frequently ask patients themselves to perform a demonstration of proper use.\n\nConclusion:\nIntroducing trainings workshops for inhaler devices to pharmacy and general practice students appears appropriate in order to promote therapeutic patient education, to increase asthma control and better patients life quality.},\n\tjournal = {Revue de Pneumologie Clinique},\n\tauthor = {Veylon, P. and Rochoy, Michaël and Gautier, S. and Wallaert, B. and Berkhout, Christophe},\n\tmonth = mar,\n\tyear = {2018},\n}\n\n
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\n Introduction: Asthma is a potentially serious chronic respiratory disease impacting patients quality of life. Satisfactory control requires proper use of inhaled devices. This study assesses general medical residents and pharmacy students knowledge about proper use of inhaled asthma devices. Materials and methods: We evaluated knowledge of 43 general practice students and 43 pharmacy students in Lille for three inhaler devices (metered-dose inhaler, Turbuhaler®and Diskus®) during individual interviews. Students were assessed on 8 proper use criterias for each device. Results: General practice and pharmacy students are unfamiliar with proper use of inhaler devices. However, pharmacy students get better average scores than general practice students for all devices included in this study: 6.3/8 respected criterias against 5/8 for metered-dose inhaler; 5.3/8 against 3.2/8 for Turbuhaler®; and 6/8 against 4.3/8 for Diskus®. Pharmacy students more frequently perform a demonstration of proper use to patients when a device is first prescribed or when a prescription is renewed; general practice students more frequently ask patients themselves to perform a demonstration of proper use. Conclusion: Introducing trainings workshops for inhaler devices to pharmacy and general practice students appears appropriate in order to promote therapeutic patient education, to increase asthma control and better patients life quality.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Antidépresseurs et hyponatrémie : revue de littérature et analyse cas/non-cas dans la base nationale de pharmacovigilance française.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Zakhem-Stachera, C.; Béné, J.; Berkhout, C.; and Gautier, S.\n\n\n \n\n\n\n Thérapie, 73. March 2018.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_antidepresseurs_2018-1,\n\ttitle = {Antidépresseurs et hyponatrémie : revue de littérature et analyse cas/non-cas dans la base nationale de pharmacovigilance française},\n\tvolume = {73},\n\tshorttitle = {Antidépresseurs et hyponatrémie},\n\tdoi = {10.1016/j.therap.2018.02.006},\n\tabstract = {Résumé\n\nObjectif\nLa plupart des antidépresseurs ont été associés à une hyponatrémie dans la littérature. Cet effet indésirable n’est pas toujours rapporté dans les monographies. L’objectif de notre étude était de clarifier la différence d’augmentation de risque d’hyponatrémie parmi les différents antidépresseurs.\n\nMéthode\nÉtude rétrospective de type cas/non-cas à partir des observations enregistrées dans la base nationale française de pharmacovigilance entre le 1er janvier 2004 et le 31 décembre 2013. Nous avons étudié tous les antidépresseurs commercialisés en 2014 en France, avec un témoin positif (halopéridol) et un négatif (amoxicilline). L’association entre l’exposition à un médicament donné et l’occurrence d’un effet indésirable était estimée par le calcul de l’odds-radio rapporté (ROR). Son intervalle de confiance (IC) était calculé avec la méthode de Woolf, avec un risque alpha de 5 \\%. La disproportionnalité est définie par un ROR {\\textgreater} 1 avec un IC95 \\% n’incluant pas la valeur 1.\n\nRésultats\nEntre 2004 et 2013, 3397 cas d’hyponatrémies ont été enregistrés. Tous les antidépresseurs étaient associés à une hyponatrémie parmi ces cas, à l’exception de milnacipran, amoxapine, dosulépine, doxépine, trimipramine, iproniazide. L’effet prédominait pour la classe des inhibiteurs sélectifs de recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSNa) et des autres antidépresseurs ; il semblait plus douteux pour les tricycliques et les inhibiteurs de mono-amine oxydase (IMAO). Contrairement à la littérature, nous trouvions une association entre hyponatrémie et exposition à agomélatine (ROR = 4,1, IC95\\% [2,2 - 7,7]), miansérine (ROR = 2,7, IC95\\% [2,0 - 3,7]) et tianeptine (ROR = 6,1, IC95\\% [4,7 - 7,9]).\n\nConclusion\nCette étude incite à rester vigilant aux troubles ioniques sous tous antidépresseurs, pas seulement sous IRS.},\n\tjournal = {Thérapie},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Zakhem-Stachera, Christina and Béné, Johana and Berkhout, Christophe and Gautier, Sophie},\n\tmonth = mar,\n\tyear = {2018},\n}\n\n
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\n Résumé Objectif La plupart des antidépresseurs ont été associés à une hyponatrémie dans la littérature. Cet effet indésirable n’est pas toujours rapporté dans les monographies. L’objectif de notre étude était de clarifier la différence d’augmentation de risque d’hyponatrémie parmi les différents antidépresseurs. Méthode Étude rétrospective de type cas/non-cas à partir des observations enregistrées dans la base nationale française de pharmacovigilance entre le 1er janvier 2004 et le 31 décembre 2013. Nous avons étudié tous les antidépresseurs commercialisés en 2014 en France, avec un témoin positif (halopéridol) et un négatif (amoxicilline). L’association entre l’exposition à un médicament donné et l’occurrence d’un effet indésirable était estimée par le calcul de l’odds-radio rapporté (ROR). Son intervalle de confiance (IC) était calculé avec la méthode de Woolf, avec un risque alpha de 5 %. La disproportionnalité est définie par un ROR \\textgreater 1 avec un IC95 % n’incluant pas la valeur 1. Résultats Entre 2004 et 2013, 3397 cas d’hyponatrémies ont été enregistrés. Tous les antidépresseurs étaient associés à une hyponatrémie parmi ces cas, à l’exception de milnacipran, amoxapine, dosulépine, doxépine, trimipramine, iproniazide. L’effet prédominait pour la classe des inhibiteurs sélectifs de recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSNa) et des autres antidépresseurs ; il semblait plus douteux pour les tricycliques et les inhibiteurs de mono-amine oxydase (IMAO). Contrairement à la littérature, nous trouvions une association entre hyponatrémie et exposition à agomélatine (ROR = 4,1, IC95% [2,2 - 7,7]), miansérine (ROR = 2,7, IC95% [2,0 - 3,7]) et tianeptine (ROR = 6,1, IC95% [4,7 - 7,9]). Conclusion Cette étude incite à rester vigilant aux troubles ioniques sous tous antidépresseurs, pas seulement sous IRS.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Androgènes et risque cardiovasculaire : série de cas dans les bases de pharmacovigilance française et canadienne.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Thomas, R.; Béné, J.; deleplanque , D.; Vantyghem, M.; Gautier, S.; and Deplanque, D.\n\n\n \n\n\n\n Progrès en Urologie. April 2018.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_androgenes_2018,\n\ttitle = {Androgènes et risque cardiovasculaire : série de cas dans les bases de pharmacovigilance française et canadienne},\n\tshorttitle = {Androgènes et risque cardiovasculaire},\n\tdoi = {10.1016/j.purol.2018.03.005},\n\tabstract = {Résumé\nIntroduction\n\nLe déficit androgénique lié à l’âge (DALA) est une pathologie de plus en plus citée dans les publications récentes. Le surrisque cardiovasculaire de la testostérone fait débat : présent pour la FDA, absent pour l’Agence européenne du médicament en 2015. Notre objectif était d’analyser l’association entre androgènes et pathologies vasculaires dans les effets indésirables rapportés dans des bases de pharmacovigilance.\n\nMatériel et méthode\n\nÉtude rétrospective de type série de cas dans les bases de pharmacovigilance française et canadienne sur la période 2005–2015. Les cas étaient définis comme l’association de la survenue d’un événement cardiovasculaire (infarctus du myocarde ou AVC) et la présence d’une testostérone dans le traitement des patients.\n\nRésultats\n\nSur les 10 années analysées, 12 cas français et 6 cas canadiens (représentant 13 IDM et 5 AVC) ont été recensés, chez des hommes âgés de 55 ans en moyenne. Tous étaient douteux : des diagnostics différentiels étaient possibles (2,4 affections de confusion en moyenne par patient) et le risque cardiovasculaire global était élevé pour la majorité des cas.\n\nConclusion\n\nNotre étude montre un très faible signalement d’effets cardiovasculaires sous testostérone, tous douteux. En attendant d’autres études, il semble raisonnable de tenir compte du risque cardiovasculaire global des patients candidats à l’hormonothérapie du déficit androgénique lié à l’âge.\n\nNiveau de preuve\n3.},\n\tjournal = {Progrès en Urologie},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Thomas, R. and Béné, Johana and deleplanque, Denis and Vantyghem, M. and Gautier, S. and Deplanque, D.},\n\tmonth = apr,\n\tyear = {2018},\n}\n\n
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\n Résumé Introduction Le déficit androgénique lié à l’âge (DALA) est une pathologie de plus en plus citée dans les publications récentes. Le surrisque cardiovasculaire de la testostérone fait débat : présent pour la FDA, absent pour l’Agence européenne du médicament en 2015. Notre objectif était d’analyser l’association entre androgènes et pathologies vasculaires dans les effets indésirables rapportés dans des bases de pharmacovigilance. Matériel et méthode Étude rétrospective de type série de cas dans les bases de pharmacovigilance française et canadienne sur la période 2005–2015. Les cas étaient définis comme l’association de la survenue d’un événement cardiovasculaire (infarctus du myocarde ou AVC) et la présence d’une testostérone dans le traitement des patients. Résultats Sur les 10 années analysées, 12 cas français et 6 cas canadiens (représentant 13 IDM et 5 AVC) ont été recensés, chez des hommes âgés de 55 ans en moyenne. Tous étaient douteux : des diagnostics différentiels étaient possibles (2,4 affections de confusion en moyenne par patient) et le risque cardiovasculaire global était élevé pour la majorité des cas. Conclusion Notre étude montre un très faible signalement d’effets cardiovasculaires sous testostérone, tous douteux. En attendant d’autres études, il semble raisonnable de tenir compte du risque cardiovasculaire global des patients candidats à l’hormonothérapie du déficit androgénique lié à l’âge. Niveau de preuve 3.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n The Effect of Cervical Smears Performed by General Practitioners on the Cervical Cancer Screening Rate of their Female Patients: A Claim Database Analysis and Cross-Sectional Survey.\n \n \n \n\n\n \n Favre, J.; Rochoy, M.; Raginel, T.; Pelletier, M.; Messaadi, N.; Deken-Delannoy, V.; Duhamel, A.; and Berkhout, C.\n\n\n \n\n\n\n Journal of Women's Health, 27. March 2018.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{favre_effect_2018,\n\ttitle = {The {Effect} of {Cervical} {Smears} {Performed} by {General} {Practitioners} on the {Cervical} {Cancer} {Screening} {Rate} of their {Female} {Patients}: {A} {Claim} {Database} {Analysis} and {Cross}-{Sectional} {Survey}},\n\tvolume = {27},\n\tshorttitle = {The {Effect} of {Cervical} {Smears} {Performed} by {General} {Practitioners} on the {Cervical} {Cancer} {Screening} {Rate} of their {Female} {Patients}},\n\tdoi = {10.1089/jwh.2017.6656},\n\tabstract = {Purpose: \nCervical cancer screening reduces the incidence and specific mortality rate of cervical neoplasms. In most cases screening by means of Pap smears is performed in France by gynecologists. The primary objective of this study was to confirm whether the participation rate is increased when general practitioners (GPs) carry out the smears themselves. The secondary objective was to evaluate other independent characteristics of GPs predicting participation rates in women.\n\nMethods:\nThe population of 347 GPs, including their relevant characteristics and their 90,094 female patients eligible for screening over 2 years (2013-2014), was derived from the SIAM claim database of the Flanders Healthcare Insurance Fund (CPAM). A telephone survey among all GPs was carried out to know whether they were performing smears in their surgeries.\n\nResults:\nA total of 343 GPs were included for analysis (98.8\\% participation rate). The mean cervical cancer screening participation rate over 2 years among all the women in the recommended age group (25-65 years) was 43.3\\% (±6.9). Bivariate analysis showed that participation rate was higher when the GP performed smears (adjusted difference of mean: 2.06 [95\\% CI: 0.67-3.45], p = 0.037) and whether the GP was female (2.08 [0.42-3.74], p = 0.0144). After multivariate analysis the only significant characteristic of the GP was the performance of smears (1.71 [0.27-3.16], p = 0.0204).\n\nConclusions:\nCervical smears performed by GPs led to increased screening participation rates within the recommended age group of women. However, the size of this increase is insufficient to reach the expected participation rates.},\n\tjournal = {Journal of Women's Health},\n\tauthor = {Favre, Jonathan and Rochoy, Michaël and Raginel, Thibaut and Pelletier, Marine and Messaadi, Nassir and Deken-Delannoy, Valérie and Duhamel, Alain and Berkhout, Christophe},\n\tmonth = mar,\n\tyear = {2018},\n}\n
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\n Purpose: Cervical cancer screening reduces the incidence and specific mortality rate of cervical neoplasms. In most cases screening by means of Pap smears is performed in France by gynecologists. The primary objective of this study was to confirm whether the participation rate is increased when general practitioners (GPs) carry out the smears themselves. The secondary objective was to evaluate other independent characteristics of GPs predicting participation rates in women. Methods: The population of 347 GPs, including their relevant characteristics and their 90,094 female patients eligible for screening over 2 years (2013-2014), was derived from the SIAM claim database of the Flanders Healthcare Insurance Fund (CPAM). A telephone survey among all GPs was carried out to know whether they were performing smears in their surgeries. Results: A total of 343 GPs were included for analysis (98.8% participation rate). The mean cervical cancer screening participation rate over 2 years among all the women in the recommended age group (25-65 years) was 43.3% (±6.9). Bivariate analysis showed that participation rate was higher when the GP performed smears (adjusted difference of mean: 2.06 [95% CI: 0.67-3.45], p = 0.037) and whether the GP was female (2.08 [0.42-3.74], p = 0.0144). After multivariate analysis the only significant characteristic of the GP was the performance of smears (1.71 [0.27-3.16], p = 0.0204). Conclusions: Cervical smears performed by GPs led to increased screening participation rates within the recommended age group of women. However, the size of this increase is insufficient to reach the expected participation rates.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Evaluation d'une fiche d'informations sur l'ostéopathie chez l'adulte pour les médecins généralistes.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Casiez, J.; Pelayo, S.; Lefebvre, J.; and Flipo, R.\n\n\n \n\n\n\n La revue de l'ostéopathie, 18: 11. July 2017.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_evaluation_2017,\n\ttitle = {Evaluation d'une fiche d'informations sur l'ostéopathie chez l'adulte pour les médecins généralistes},\n\tvolume = {18},\n\tjournal = {La revue de l'ostéopathie},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Casiez, Joachim and Pelayo, Sylvie and Lefebvre, Jean-Marc and Flipo, René-Marc},\n\tmonth = jul,\n\tyear = {2017},\n\tpages = {11},\n}\n\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Le rebond d’acidité gastrique après arrêt d’un inhibiteur de la pompe à protons : revue narrative de littérature.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Dubois, S.; Glantenet, R.; Gautier, S.; and Lambert, M.\n\n\n \n\n\n\n Thérapie, 73. October 2017.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_rebond_2017,\n\ttitle = {Le rebond d’acidité gastrique après arrêt d’un inhibiteur de la pompe à protons : revue narrative de littérature},\n\tvolume = {73},\n\tshorttitle = {Le rebond d’acidité gastrique après arrêt d’un inhibiteur de la pompe à protons},\n\tdoi = {10.1016/j.therap.2017.08.005},\n\tabstract = {Résumé\n\nContexte\nDepuis la commercialisation du premier inhibiteur de pompe à protons (IPP) il y a 20 ans, de nombreuses études ont porté sur la présence d’un effet rebond à l’arrêt de ce traitement. Ces études sont hétérogènes et contradictoires: la dernière revue de littérature parue portant sur le rebond d’acidité gastrique date de 2006 et ne permettait pas de conclure sur le sujet. Notre objectif était d’effectuer une revue de littérature actualisée sur l’existence et les caractéristiques de ce rebond d’acidité gastrique à l’arrêt des IPP.\n\nMéthode\nNous avons procédé à une revue de littérature sur le rebond d’acidité gastrique, sans exclusion sur le design des études. Les bases de données Medline® (PubMed), ISI (Web Of Science) et Google Scholar ont été interrogées en utilisant l’équation suivante : (« inhibitor proton pump » OR omeprazole OR esomeprazole OR lansoprazole OR pantoprazole OR rabeprazole) AND « rebound » AND « acid hypersecretion ». Seules les études comportant une mesure (quelle qu’elle soit) avant et après traitement ont été analysées.\n\nRésultats\nSur les 131 publications identifiées, 10 ont été retenues. Le design des études était très hétérogène. Cinq études concluaient à un effet rebond. Parmi les études dont la durée d’exposition à l’IPP était inférieure à 4 semaines, aucune n’a mis en évidence d’effet rebond. La colonisation à Helicobacter pylori masquait l’apparition du rebond.\n\nConclusion\nLa prise quotidienne d’un IPP pendant plus de 4 semaines est susceptible d’engendrer un rebond d’hypersécrétion acide environ 15 jours après arrêt de celui-ci, et d’une durée de quelques jours à plusieurs semaines en fonction de la durée totale d’exposition.},\n\tjournal = {Thérapie},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Dubois, Sébastien and Glantenet, Raymond and Gautier, Sophie and Lambert, Marc},\n\tmonth = oct,\n\tyear = {2017},\n}\n\n
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\n Résumé Contexte Depuis la commercialisation du premier inhibiteur de pompe à protons (IPP) il y a 20 ans, de nombreuses études ont porté sur la présence d’un effet rebond à l’arrêt de ce traitement. Ces études sont hétérogènes et contradictoires: la dernière revue de littérature parue portant sur le rebond d’acidité gastrique date de 2006 et ne permettait pas de conclure sur le sujet. Notre objectif était d’effectuer une revue de littérature actualisée sur l’existence et les caractéristiques de ce rebond d’acidité gastrique à l’arrêt des IPP. Méthode Nous avons procédé à une revue de littérature sur le rebond d’acidité gastrique, sans exclusion sur le design des études. Les bases de données Medline® (PubMed), ISI (Web Of Science) et Google Scholar ont été interrogées en utilisant l’équation suivante : (« inhibitor proton pump » OR omeprazole OR esomeprazole OR lansoprazole OR pantoprazole OR rabeprazole) AND « rebound » AND « acid hypersecretion ». Seules les études comportant une mesure (quelle qu’elle soit) avant et après traitement ont été analysées. Résultats Sur les 131 publications identifiées, 10 ont été retenues. Le design des études était très hétérogène. Cinq études concluaient à un effet rebond. Parmi les études dont la durée d’exposition à l’IPP était inférieure à 4 semaines, aucune n’a mis en évidence d’effet rebond. La colonisation à Helicobacter pylori masquait l’apparition du rebond. Conclusion La prise quotidienne d’un IPP pendant plus de 4 semaines est susceptible d’engendrer un rebond d’hypersécrétion acide environ 15 jours après arrêt de celui-ci, et d’une durée de quelques jours à plusieurs semaines en fonction de la durée totale d’exposition.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Factors associated with the achievement of cervical smears by general practitioners.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Raginel, T.; Favre, J.; Soueres, E.; Messaadi, N.; Deken, V.; Duhamel, A.; and Berkhout, C.\n\n\n \n\n\n\n BMC Research Notes, 10. December 2017.\n \n\n\n\n
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@article{rochoy_factors_2017,\n\ttitle = {Factors associated with the achievement of cervical smears by general practitioners},\n\tvolume = {10},\n\tdoi = {10.1186/s13104-017-2999-5},\n\tabstract = {Objective\nReliable data about general practitioners performing pap-tests are insufficient. A claim code for the achievement of pap-smears exists in France, but its use by general practitioners is not known. The main purpose of this study was to highlight independent factors associated with the achievement of pap-smears by the general practitioner (GP). We carried out a descriptive and analytic epidemiologic study in 347 GPs and their 244,889 patients, registered at the Health Care Insurance Fund of Flanders. The European Deprivation Index (EDI) in the area of GP’s surgeries was specified. All GPs were questioned by telephone about their performance of pap-tests. The claim database of the insurance fund was analyzed to describe characteristics of GPs.\n\nResults\nThe answer rate among questioned GPs was 98.8\\%. Pap-smears were performed in their surgeries by 182 GPs (53.1\\%). Among males, 45.7\\% performed pap-smears versus 78.4\\% of the female (adjusted odds-ratio = 4.5, p {\\textless} 0.001). The mean rate of screened women in the target population was 44\\% when GPs were performing smears versus 42\\% when they were not (adjusted odds-ratio = 1.04, p = 0.03). Only 19.5\\% of GPs used the claim code. The number of patients, and the EDI were not associated with pap-smears.\nTrial registration ClinicalTrials.gov NCT02749110 (April 22, 2016)},\n\tjournal = {BMC Research Notes},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Raginel, Thibaut and Favre, Jonathan and Soueres, Estelle and Messaadi, Nassir and Deken, V. and Duhamel, Alain and Berkhout, Christophe},\n\tmonth = dec,\n\tyear = {2017},\n}\n\n
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\n Objective Reliable data about general practitioners performing pap-tests are insufficient. A claim code for the achievement of pap-smears exists in France, but its use by general practitioners is not known. The main purpose of this study was to highlight independent factors associated with the achievement of pap-smears by the general practitioner (GP). We carried out a descriptive and analytic epidemiologic study in 347 GPs and their 244,889 patients, registered at the Health Care Insurance Fund of Flanders. The European Deprivation Index (EDI) in the area of GP’s surgeries was specified. All GPs were questioned by telephone about their performance of pap-tests. The claim database of the insurance fund was analyzed to describe characteristics of GPs. Results The answer rate among questioned GPs was 98.8%. Pap-smears were performed in their surgeries by 182 GPs (53.1%). Among males, 45.7% performed pap-smears versus 78.4% of the female (adjusted odds-ratio = 4.5, p \\textless 0.001). The mean rate of screened women in the target population was 44% when GPs were performing smears versus 42% when they were not (adjusted odds-ratio = 1.04, p = 0.03). Only 19.5% of GPs used the claim code. The number of patients, and the EDI were not associated with pap-smears. Trial registration ClinicalTrials.gov NCT02749110 (April 22, 2016)\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n General practitioners and patients’ opinion face to direct oral anticoagulants.\n \n \n \n\n\n \n Béné, J.; Bayen, M.; Rochoy, M.; Gaboriau, L.; and Gautier, S.\n\n\n \n\n\n\n Fundamental and Clinical Pharmacology, 30. April 2016.\n \n\n\n\n
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@article{bene_general_2016,\n\ttitle = {General practitioners and patients’ opinion face to direct oral anticoagulants.},\n\tvolume = {30},\n\tjournal = {Fundamental and Clinical Pharmacology},\n\tauthor = {Béné, Johana and Bayen, M. and Rochoy, Michaël and Gaboriau, Louise and Gautier, Sophie},\n\tmonth = apr,\n\tyear = {2016},\n}\n\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Direct oral anticoagulants prescription patterns: a study among Nord-pas de Calais general practitioners.\n \n \n \n\n\n \n Béné, J.; Bayen, M.; Gaboriau, L.; Rochoy, M.; and Gautier, S.\n\n\n \n\n\n\n Fundamental and Clinical Pharmacology, 30. April 2016.\n \n\n\n\n
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@article{bene_direct_2016,\n\ttitle = {Direct oral anticoagulants prescription patterns: a study among {Nord}-pas de {Calais} general practitioners.},\n\tvolume = {30},\n\tshorttitle = {Direct oral anticoagulants prescription patterns},\n\tjournal = {Fundamental and Clinical Pharmacology},\n\tauthor = {Béné, Johana and Bayen, M. and Gaboriau, Louise and Rochoy, Michaël and Gautier, Sophie},\n\tmonth = apr,\n\tyear = {2016},\n}\n\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Évaluation du site internet du centre régional de pharmacovigilance du Nord-Pas-de-Calais.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Béné, J.; Messaadi, N.; Auffret, M.; and Gautier, S.\n\n\n \n\n\n\n Thérapie, 71. February 2016.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_evaluation_2016,\n\ttitle = {Évaluation du site internet du centre régional de pharmacovigilance du {Nord}-{Pas}-de-{Calais}},\n\tvolume = {71},\n\tdoi = {10.1016/j.therap.2015.10.002},\n\tabstract = {We posted the Nord-Pas-de-Calais regional pharmacovigilance center website and distributed a survey to its potential users between August 2014 and October 2014 (135 general practitioners, 45 pharmacists, 14 patients). Satisfaction was 7.3±1.6 out of 10 points for the visual aspect, 7.8±1.5 out of 10 points for navigation and 7.6±1.4 out of 10 points for content. The website was declared useful by 98\\% respondents, particularly for the reporting of adverse drugs reactions (89\\%).\nCopyright © 2016 Société française de pharmacologie et de thérapeutique. Published by Elsevier Masson SAS. All rights reserved.},\n\tjournal = {Thérapie},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Béné, Johana and Messaadi, Nassir and Auffret, Marine and Gautier, Sophie},\n\tmonth = feb,\n\tyear = {2016},\n}\n\n
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\n We posted the Nord-Pas-de-Calais regional pharmacovigilance center website and distributed a survey to its potential users between August 2014 and October 2014 (135 general practitioners, 45 pharmacists, 14 patients). Satisfaction was 7.3±1.6 out of 10 points for the visual aspect, 7.8±1.5 out of 10 points for navigation and 7.6±1.4 out of 10 points for content. The website was declared useful by 98% respondents, particularly for the reporting of adverse drugs reactions (89%). Copyright © 2016 Société française de pharmacologie et de thérapeutique. Published by Elsevier Masson SAS. All rights reserved.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Histoire de la pharmacovigilance.\n \n \n \n\n\n \n Caron, J.; Rochoy, M.; Gaboriau, L.; and Gautier, S.\n\n\n \n\n\n\n Thérapie, 71. February 2016.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{caron_histoire_2016,\n\ttitle = {Histoire de la pharmacovigilance},\n\tvolume = {71},\n\tdoi = {10.1016/j.therap.2016.02.026},\n\tabstract = {Résumé\nCet article reprend les évènements principaux qui ont écrit l’histoire de la pharmacovigilance jusqu’au début du XXIe siècle et met en lumière leurs impacts et les évolutions réglementaires qui en découlent.},\n\tjournal = {Thérapie},\n\tauthor = {Caron, Jacques and Rochoy, Michaël and Gaboriau, Louise and Gautier, Sophie},\n\tmonth = feb,\n\tyear = {2016},\n}\n\n
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\n Résumé Cet article reprend les évènements principaux qui ont écrit l’histoire de la pharmacovigilance jusqu’au début du XXIe siècle et met en lumière leurs impacts et les évolutions réglementaires qui en découlent.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Dietary supplements used in bodybuilding: possible serious adverse effects.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Auffret, M.; Lassailly, G.; Gautier, S.; and Gaboriau, L.\n\n\n \n\n\n\n Drug Safety, 38(10): 984. October 2015.\n \n\n\n\n
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@article{rochoy_dietary_2015,\n\ttitle = {Dietary supplements used in bodybuilding: possible serious adverse effects.},\n\tvolume = {38},\n\tshorttitle = {Dietary supplements used in bodybuilding},\n\tnumber = {10},\n\tjournal = {Drug Safety},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Auffret, Marine and Lassailly, Guillaume and Gautier, Sophie and Gaboriau, Louise},\n\tmonth = oct,\n\tyear = {2015},\n\tpages = {984},\n}\n\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Weight influence in thrombotic and bleeding events during direct oral anticoagulant therapy.\n \n \n \n\n\n \n Béné, J.; Auffret, M.; Rochoy, M.; Brasselet, D.; Caron, J.; and Gautier, S.\n\n\n \n\n\n\n Fundamental and Clinical Pharmacology, 29. April 2015.\n \n\n\n\n
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@article{bene_weight_2015,\n\ttitle = {Weight influence in thrombotic and bleeding events during direct oral anticoagulant therapy.},\n\tvolume = {29},\n\tjournal = {Fundamental and Clinical Pharmacology},\n\tauthor = {Béné, Johana and Auffret, Marine and Rochoy, Michaël and Brasselet, Diana and Caron, Jacques and Gautier, Sophie},\n\tmonth = apr,\n\tyear = {2015},\n}\n\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Consultations sans prescription médicamenteuse : ressentis des médecins et des patients.\n \n \n \n\n\n \n deleplanque , D.; Hennion-Gasrel, F.; Diblanc-Stamm, A.; Rochoy, M.; and Messaadi, N.\n\n\n \n\n\n\n Exercer, 117: 13–21. February 2015.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{deleplanque_consultations_2015,\n\ttitle = {Consultations sans prescription médicamenteuse : ressentis des médecins et des patients},\n\tvolume = {117},\n\tshorttitle = {Consultations sans prescription médicamenteuse},\n\tabstract = {Résumé\nContexte. L’ordonnance à la fin d’une consultation est quasi systématique en France. Ce travail explore les ressentis des médecins et des patients suite à une consultation sans prescription médicamenteuse (CSPM) en soins primaires.\nMéthode. Etude qualitative, basée sur des entretiens semi-directifs individuels et des focus groups dans le Nord-Pas-de-Calais. Ont été conduits deux focus groups et 10 entretiens individuels (concernant 17 médecins généralistes), et 4 focus groups (concernant 25 patients). Les échantillons ont été réalisés en variation maximale. L’analyse thématique a été faite avec le logiciel NVivo 9® ; l’analyse des résultats a été conduite avec une approche par théorisation ancrée.\nRésultats. Certaines CSPM ont été citées par les médecins et les patients mais elles restaient peu fréquentes dans la pratique quotidienne. Les ressentis d’une CSPM étaient mitigés : inefficace ou valorisante pour les médecins ; rassurante ou gênante par les patients. Les patients attendaient une écoute, une réassurance, un diagnostic et une solution à leur problème. Ils étaient ambivalents quant au besoin d’un traitement. Les médecins percevaient bien ces attentes, mais manquaient de temps pour les satisfaire. La relation médecin-malade était importante pour tous. Pour sortir de l’équation « consultation égale prescription médicamenteuse », patients et médecins ont proposé\nl’éducation, la prévention, des campagnes de santé publique et le déremboursement des\nmédicaments.\nConclusion. Les CSPM sont possibles, si les explications s’intègrent dans une bonne relation médecin malade. Les attentes prioritaires des patients et des médecins sont les mêmes, mais les difficultés persistent pour les satisfaire. Le manque de temps a été le principal obstacle identifié.\nMots clés : Relations médecin-malade, Consultation médicale, Prescription inappropriée\nRESUME EN ANGLAIS\n\nBackground. In France, almost all consultations end with a prescription. This study explores the feelings of physicians and patients following a consultation without drug prescription (CWDP) in primary care.\nMethod. Qualitative study based on individual semi-structured interviews and focus groups in the Nord-Pas-de-Calais (France). Two focus groups and 10 individual interviews (involving 17 general practitioners (GPs)) and 4 focus groups (involving 25 patients) have been realized. A sampling with maximum variation was performed. Thematic analysis was made with NVivo 9®; analysis of results was conducted with a grounded theory approach.\nResults. Some CWDP were cited by GPs and patients but remained infrequent in daily practice. Feelings about CWDP were mixed: ineffective or rewarding for GPs, reassuring or frightening for patients. Patients waited listening, reassurance, diagnosis and solution to their problem; they were ambivalent about the need for treatment. GPs well-perceived these expectations, but have not enough time to meet them. The physician-patient relation was important for everyone. To get out of the equation "consultation equals prescription drug", patients and GPs suggested education, prevention, public health campaigns and cessation of drugs reimbursement.\nConclusion. CWDP are possible, if explanations are include in a good physician-patient relation. Expectations of patients and physicians are the same, but challenge remains to meet them. Lack of time was the main obstacle.},\n\tjournal = {Exercer},\n\tauthor = {deleplanque, Denis and Hennion-Gasrel, Florence and Diblanc-Stamm, Aline and Rochoy, Michaël and Messaadi, Nassir},\n\tmonth = feb,\n\tyear = {2015},\n\tpages = {13--21},\n}\n\n
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\n Résumé Contexte. L’ordonnance à la fin d’une consultation est quasi systématique en France. Ce travail explore les ressentis des médecins et des patients suite à une consultation sans prescription médicamenteuse (CSPM) en soins primaires. Méthode. Etude qualitative, basée sur des entretiens semi-directifs individuels et des focus groups dans le Nord-Pas-de-Calais. Ont été conduits deux focus groups et 10 entretiens individuels (concernant 17 médecins généralistes), et 4 focus groups (concernant 25 patients). Les échantillons ont été réalisés en variation maximale. L’analyse thématique a été faite avec le logiciel NVivo 9® ; l’analyse des résultats a été conduite avec une approche par théorisation ancrée. Résultats. Certaines CSPM ont été citées par les médecins et les patients mais elles restaient peu fréquentes dans la pratique quotidienne. Les ressentis d’une CSPM étaient mitigés : inefficace ou valorisante pour les médecins ; rassurante ou gênante par les patients. Les patients attendaient une écoute, une réassurance, un diagnostic et une solution à leur problème. Ils étaient ambivalents quant au besoin d’un traitement. Les médecins percevaient bien ces attentes, mais manquaient de temps pour les satisfaire. La relation médecin-malade était importante pour tous. Pour sortir de l’équation « consultation égale prescription médicamenteuse », patients et médecins ont proposé l’éducation, la prévention, des campagnes de santé publique et le déremboursement des médicaments. Conclusion. Les CSPM sont possibles, si les explications s’intègrent dans une bonne relation médecin malade. Les attentes prioritaires des patients et des médecins sont les mêmes, mais les difficultés persistent pour les satisfaire. Le manque de temps a été le principal obstacle identifié. Mots clés : Relations médecin-malade, Consultation médicale, Prescription inappropriée RESUME EN ANGLAIS Background. In France, almost all consultations end with a prescription. This study explores the feelings of physicians and patients following a consultation without drug prescription (CWDP) in primary care. Method. Qualitative study based on individual semi-structured interviews and focus groups in the Nord-Pas-de-Calais (France). Two focus groups and 10 individual interviews (involving 17 general practitioners (GPs)) and 4 focus groups (involving 25 patients) have been realized. A sampling with maximum variation was performed. Thematic analysis was made with NVivo 9®; analysis of results was conducted with a grounded theory approach. Results. Some CWDP were cited by GPs and patients but remained infrequent in daily practice. Feelings about CWDP were mixed: ineffective or rewarding for GPs, reassuring or frightening for patients. Patients waited listening, reassurance, diagnosis and solution to their problem; they were ambivalent about the need for treatment. GPs well-perceived these expectations, but have not enough time to meet them. The physician-patient relation was important for everyone. To get out of the equation \"consultation equals prescription drug\", patients and GPs suggested education, prevention, public health campaigns and cessation of drugs reimbursement. Conclusion. CWDP are possible, if explanations are include in a good physician-patient relation. Expectations of patients and physicians are the same, but challenge remains to meet them. Lack of time was the main obstacle.\n
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\n \n\n \n \n \n \n \n Interactions pharmacovigilance – service de médecine interne : une aide précieuse au diagnostic.\n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M.; Gautier, S.; Bordet, R.; Launay, D.; Hachulla, E.; Hatron, P.; and Lambert, M.\n\n\n \n\n\n\n La Revue de Médecine Interne, 36. March 2015.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n  \n \n abstract \n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_interactions_2015,\n\ttitle = {Interactions pharmacovigilance – service de médecine interne : une aide précieuse au diagnostic},\n\tvolume = {36},\n\tshorttitle = {Interactions pharmacovigilance – service de médecine interne},\n\tdoi = {10.1016/j.revmed.2015.02.004},\n\tabstract = {Purpose: \nPatients hospitalized in internal medicine often have unexplained clinical symptoms for which a drug origin can be considered. The prevalence of patients hospitalized for iatrogenic is estimated between 4-22\\%. We wanted to evaluate the diagnostic value of the regional center of pharmacovigilance to identify or confirm an iatrogenic disease in the department of internal medicine of Lille and characterize factors associated with drug-related side effect.\n\nMethods:\nThis is a single-center prospective diagnostic study. We included all subsequent requests from the department of internal medicine with the Nord-Pas-de-Calais regional pharmacovigilance center between 2010 and 2012. The opinion of the regional pharmacovigilance centre was held on the record of the adverse drug reaction in the national pharmacovigilance database and analyzed according to the conclusion of iatrogenic used by clinicians in internal medicine (reference diagnosis) with a follow-up to June 2013. The variables relating to the patient, medication and adverse events were analyzed by binary logistic regression.\n\nResults:\nWe analyzed 160 contacts: 118 concordant cases, 38 false-positives (drug-related side effect retained by the regional pharmacovigilance center only), 4 false negatives. Registration in the national pharmacovigilance database had a sensitivity of 96\\% (95\\% CI [0.92 to 0.99]), a specificity of 46\\% (95\\% CI [0.38 to 0.53]), a value positive predictive of 69\\% (95\\% CI [0.62 to 0.76]), a negative predictive value of 89\\% (95\\% CI [0.84 to 0.94]) and a negative likelihood ratio of 0.1. False-positive had chronological and semiological accountabilities questionable (adjusted RR=2.1, 95\\% CI [1.2 to 2.8]).\n\nConclusion:\nIn our study, the regional pharmacovigilance center confirms the clinician's suspicion of drug-related side effects and helps to exclude drug-induced with a high negative predictive value.},\n\tjournal = {La Revue de Médecine Interne},\n\tauthor = {Rochoy, Michaël and Gautier, S. and Bordet, Régis and Launay, David and Hachulla, E. and Hatron, Pierre‐Yves and Lambert, Marc},\n\tmonth = mar,\n\tyear = {2015},\n}\n\n
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\n Purpose: Patients hospitalized in internal medicine often have unexplained clinical symptoms for which a drug origin can be considered. The prevalence of patients hospitalized for iatrogenic is estimated between 4-22%. We wanted to evaluate the diagnostic value of the regional center of pharmacovigilance to identify or confirm an iatrogenic disease in the department of internal medicine of Lille and characterize factors associated with drug-related side effect. Methods: This is a single-center prospective diagnostic study. We included all subsequent requests from the department of internal medicine with the Nord-Pas-de-Calais regional pharmacovigilance center between 2010 and 2012. The opinion of the regional pharmacovigilance centre was held on the record of the adverse drug reaction in the national pharmacovigilance database and analyzed according to the conclusion of iatrogenic used by clinicians in internal medicine (reference diagnosis) with a follow-up to June 2013. The variables relating to the patient, medication and adverse events were analyzed by binary logistic regression. Results: We analyzed 160 contacts: 118 concordant cases, 38 false-positives (drug-related side effect retained by the regional pharmacovigilance center only), 4 false negatives. Registration in the national pharmacovigilance database had a sensitivity of 96% (95% CI [0.92 to 0.99]), a specificity of 46% (95% CI [0.38 to 0.53]), a value positive predictive of 69% (95% CI [0.62 to 0.76]), a negative predictive value of 89% (95% CI [0.84 to 0.94]) and a negative likelihood ratio of 0.1. False-positive had chronological and semiological accountabilities questionable (adjusted RR=2.1, 95% CI [1.2 to 2.8]). Conclusion: In our study, the regional pharmacovigilance center confirms the clinician's suspicion of drug-related side effects and helps to exclude drug-induced with a high negative predictive value.\n
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\n  \n 2013\n \n \n (1)\n \n \n
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\n \n\n \n \n \n \n \n \n [Atypical gastritis].\n \n \n \n \n\n\n \n Rochoy, M; Lefèvre, G; Fontaine, A; Boualit, M; Le Roy, P; Neugebauer, Y; Chanson, N; Le Gouellec, N; Launay, D; Lambert, M; Hachulla, E; and Hatron, P.\n\n\n \n\n\n\n La Revue de medecine interne, 34(9): 581–582. September 2013.\n \n\n\n\n
\n\n\n\n \n \n \"[AtypicalPaper\n  \n \n\n \n \n doi\n  \n \n\n \n link\n  \n \n\n bibtex\n \n\n \n\n \n\n \n \n \n \n \n \n \n\n  \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n\n\n\n
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@article{rochoy_atypical_2013,\n\ttitle = {[{Atypical} gastritis]},\n\tvolume = {34},\n\tissn = {1768-3122},\n\turl = {https://doi.org/10.1016/j.revmed.2013.02.004},\n\tdoi = {10.1016/j.revmed.2013.02.004},\n\tlanguage = {fre},\n\tnumber = {9},\n\turldate = {2021-07-04},\n\tjournal = {La Revue de medecine interne},\n\tauthor = {Rochoy, M and Lefèvre, G and Fontaine, A and Boualit, M and Le Roy, P and Neugebauer, Y and Chanson, N and Le Gouellec, N and Launay, D and Lambert, M and Hachulla, E and Hatron, P-Y},\n\tmonth = sep,\n\tyear = {2013},\n\tpmid = {23478158},\n\tkeywords = {Gastric Sarcoidosis, Gastrite, Gastritis, Gastropathie Hypertrophique, Hypertrophic Gastropathy, Linite Gastrique, Linitis Plastica, Sarcoïdose Gastrique},\n\tpages = {581--582},\n}\n\n
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