Déjouer la Ville Créative ?. Façonnements urbains autour du Grenoble Street art Fest’ et du graffiti grenoblois. Sallenave, L. EchoGéo, July, 2018.
Déjouer la Ville Créative ?. Façonnements urbains autour du Grenoble Street art Fest’ et du graffiti grenoblois [link]Paper  doi  abstract   bibtex   
En 2014, le parti écologique d’Éric Piolle remporte les municipales grenobloises. Il accepte de soutenir un nouveau festival, le Grenoble Street art Fest’. Ainsi, depuis 2015, les murs se couvrent d’images fictionnelles inédites et renouvellent l’étiquetage de la cité : elle est à la fois « branchée » et « populaire », attractive et accessible à tous. Comme toute initiative s’inscrivant dans le domaine public, celle-ci est lue tantôt de manière positive (ce festival serait un outil de valorisation territoriale, de cohésion sociale luttant contre les fragmentations spatiales), tantôt de façon critique (il déconsidérerait certains graffeurs, relèverait d’une faible qualité artistique). Quoi qu’il en soit, le festival devient prétexte pour questionner le rôle des images de rue in et off. Elles permettent d’analyser une façon dont peuvent se construire les territoires.
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	doi = {10.4000/echogeo.15609},
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	urldate = {2020-06-09},
	journal = {EchoGéo},
	author = {Sallenave, Léa},
	month = jul,
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	keywords = {3. Quartiers et villes créatives, Grenoble, artiste, arts, politique culturelle, street-art, travailleurs créatifs, ville créative},
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